tr D cuve
| des. argus lointaines sr se
ie “>
ue. Aous nous pouvons taire noté part ‘de Fr,
rends Sans m'arrêter au
| gnement dé la rs 8 où à la gaçde de 1 ’enfânee, — vocations qui
exigent l'appel de Dieu,-— je passe à ce qui est à la portée de tous
. LL. pour 60 r l'infortune où qu'elle se troûve et sous quelque forme
LA qu'elle se présente. Donner de son avoir, aider le ‘pauvre dans le
. gain de son pain, savoir $e priver -dy superflu pour’ ‘améliorer le sort
. du miséreux, e’est la forme a plus commune, .je pense, de faire ia
charité. Sovs œ rapport, ceux gr ds d'oeuvres. de bien-
faisanee dans notre ville disent coni TTér) corsolante est la générosité
. de tous.- Et ils sont surpris. de ce qu'elle parte souvent des: plus
umbles foyers. :
Donner, c'est un si grand bonheur !
« saire de s’eñ tenir au don exeluaif de l'argent. Oh! amies, vous qui
suivez un peu beañeoup les caprices de la mode qui devient de plus
Len plus exigeante, n ‘oubliez pas de faire des heureux er donnant
4! -lé4: robes délaissées qui seraient encore de: la plus, grande utilité
{2 «pourdes infortumés. C’est à la saison des grands ménages ou encore
‘des ‘déménagements qu ‘on sers maintes choses du? ‘on ‘entasse,
et pourquoi ?.
Travaillons encore pour. les notiin enfants pauvres. ‘Le honheur
éprouvé à grossir, d'un de ces jolis riens, soüvent dispendieux, la
- De -Jayette d'une amie qui atterd ‘un petit ange ne. jloit-elle pas -nobe
#1 . fafre penser à la joie que ressentiraienit certaines pauvresses, si elles
recevaient seulement un eimple inoreean de flanelle pour réchaufdr
les niembres fréles et tremblants du nouveau-né qu'elles tiennent |
dans leurs bras ? \
f Enfin, à défaut d'or donnons de ‘notre event: Il est des êtres
ie rayonnants dont un sourire, une bonne parole, quelques rayons de
‘Ja paix qui les anime, comiuniqués à cenx qui souffrent valent. plus cinq milles de la rivière. [ls fran ME univérsef, fes né j dires k—"On-nôwr denmtds
que des millions parfois et suffisent pour relever une âme défaillante. | chirent cette distance sans que la Mall btost 00 HS do. mènde’ : souvent en june seule, journée
Et c'est là quelques moyens entre mille, .et bien mal indiqués, | conversation rep, J'ai, de mé “, . : ve vingt-cinq goes os an-
arche Û - di € nten rions Ju cette année procurer.
_de semer du bonheur sur sa route, Ne kuffirait-il pas d'y penser, | = Marche, le Blond! : disant ile pes f it un Er es {II deï° Sr encor VS oi
b seulement mon oncle de temps en | réflexion cent fois pour une. es pa ne sp ER
.ens ou liant s soi- même ?.. STE temps. - personnes pieuses mais crédules ; “nographes et teneñrs de livres.
ÿ ( DS. “ 1 Éd
. a JACQYELINE DES ERABLES. L_ Mai voictin Croix sont pas les seules à_ la fdire.…. ! Des Notre chiffre d' élèves en une
9 mai 1918. 4 ; : nou us Rétro . [hommes instruits, rompus à l'obsér année, 2,100, (en uns -soule’ &co-
À ds L'onele Jean lève son chapeau des fs pe le}. est ce qu'il. y a de niens
À « TE NT ae x TE en tenant l'oeil sur le monsienr. M han +. Er . au Canada. Nousavonñs 28 pro-
€ {À "rie n aa r à 'uf n . ’ : LE É S M) £ sseurs 6x verts et di sétr es
ji : 5 UN PORTRAIT Ce dernier, qui régarde d’uñn-au- ; : ares: ! L 3 — dipiémés:
; in S "à ee tre côté,-ne salue. pas plus la ati Fin à ere 8 LR h Si vous voulez suivre ‘notre
il rene : Croix de Bcauséjour “qu'il n'a PR RS NS og Penh 5
: : LES « 2 ane Le SL LT DS t . 1enscis 1U5- Ji :
| ” ER Re fuit. ia première. ment travaillent dans c tte -ori nta ent uret-pyqu nt ht
n portrait, c'es absence ‘Marche done, le Blond! = ‘gs HET
| Des anis qu'on voudrait embrasser Un:tel eoup de fouet einigle es | - Beaux. restes de soie pour travaur Ë
{}: Et par leur réssemblance flanes du Blond. que, surprise, Talde mosaïque (Crazy Patchwork). Très THE SUCCESS
| i On peut voir dévant soi le passé se dresser, bêté part soudain comme l'éclair [bel assortiment, dé /restes, de bonne
& + : et ne ralentit son allure qu'en ap-| grandeur et bons pour‘ çourte-poirite Business College
Me C'est aussi leur présencé, & [prochant qu'village. tâies de sofa, coussin, etc. Gros pa
é Le cos RATER 4 CuMrED
Puisqu'avee eux, ainsi, l'on. peut toujours passer Alors; Ponele,-qui depuis ic |auett 85 sous; 5 paquète pour #1-00.
PS + ‘pont n'avait pas dit un mot à son PEOPLES seb cal TIES CO. Winni M
se Un moment d'’existenre, à | innipeg, an.*
s Puisque c'éét voir encorè que de pouvoir penser. : compagnon, se tourne lentement | Département 14 Casier: 18 e
+ su nas re Hu . ! AUS vers lui, et le régardant bi ns en Winripeg-Man;:
ï î ! face : à :
säujourd'hui eette image; 2 PART = Marisie ‘ur, dit,
D ‘0e Énadotr dir sacre) able our tres am e fusquer ait-il si je vous diseis un ER parti Auyprofit di Comité de.Wi de LA CROIX ROUGE
7 mn un peu de moi-même au passé rappelant : petit mot. de remarque ? parie ité de Winnipeg de Ge
+ M Me À NEA | —— Nullement, mon brave. FRANÇAISE maintenant unie au: SECOURS NATIONAL qui, béne-
! Qu lé même rivage, es Fe ë - Eh! bien, monsieur, ça n'est ficiera de 25 'pour cent des régettes br utes- provenant de la vente des
Quand nons aurons passé, ee moment d’un jour pas de mes aaffires, mais je frou- - billets. ie
Ne sera malgré nous que ruine à son tour , D que vous êtes de peu -trop LAN ART LORS A PI TRES ER EREE
ÿ ' abonné aux Croix du chemin!
L'abbé Georges JONCAS. Ait Rivatd.
= D 1 1 L iran e- tepresen d jon:
2! * ba acHun. | D Su . à 4 - 2 ü k
‘ L'ABONNE |pourquoi ÎT visftait de la sorte ies |” , : _-@n langue française _
{ ; leurés, il n'apprit à peu près rien. PENSÉES CHOISIES
F “ “ LE lL'étrunger ne répoñdait pas, où
L'ohcle. Jean conduisait un|ré spondait vaguement, éludait les ae |»
monsieur de la ville” à Ja ‘paroisse ‘questions ba -diree dus à fusait| Les véritables amis, ceux : qui |} [E H EA T R E wi N N | PE G.
voisine. 5 |en somme jes avances 1es pl us P9: | sont, constants et-ne se tralissent
M val n qulaus person. Lies de mon oncle. jamais, ne se “rencontrent :-Que ||} - le Mercredi 5 juin 1918, à 8 heures 30 L Soir,
nage, et dans tous les eas un bou | était vex: pa il + [dans un coeur pür, où habite. ia ||} Par | le Ce ele Dismatique du- Club “le. Canada:
-ehrétien: arrivé la veille au sôir, De plus, l'oncle Jean s’aperent | peix de Dieu, dans une”äme habi L
il était descendu au presbytère ; que le voyageur s'amiBait de sa liée à méditer. SUP-ReS-HHSÈrES,
et, le matin, — on était au diman- | curiosité, pourtant bien lé igitimk, Pe'est en elle qu'on peut trouver
n che — il avait entendu la messe. / et avait un petit air narquois fort l'cette «vympatfhie et cette ‘délicate | \
: . “i » ’ ENG ES EE Ve Fr L ë x Ps . À F #4 Sd à
Après dîner, monsieur le Curé | déplaisant. Veuf-il rire de moi?” générosité qui soulagent et sou | Tragédie de Pierre Corneille, chef d'oeuvre du théâtrs français
avait prié l'oncle Jean, en sa qua: [€ demandait l'oncle Tean avec [tiennent dans les épreuves, -- |
lité de mar rguilier en ‘éharge, de. | humeur. HE si Fagei de Guiris. | D CA M Al N EST E
mener l'étranger, dans'sa voiture! Pis encore: le monsieur se per‘ . se L
Dos mn confrère voisin... | iabéee À ans gs er Si vous souffrez plus qu’un au- 22 Comédie du célèbre vaudevilliste Labiche
L'onele Jean n'était pas-autre- |que L si nd I c£ + re: des choses de là terre, c'es!
ment informé, et il aurait bien ai- | exemple, ape ils arrivèrent au qu'une grande âme doit conteni: QUAN D O N CO NS PI FR E
mé à savoir quel était ee parois- | Pont de péage. sur la rivière, plus de larmes'qu'une petite \f
sien et. de quel hais il se chauffait. |le monsieur trouva mauvais que |e ue : ps Pt ] : Opérette bien conn
Aussi s'élait-1 promis Peer) À + en dr Cr..# A VUS . [I THANIS ET MUSIQUE PENDANT LES ENTR'AËFES
e , \ x i ? A PINS 3 ‘4 % | A 4 4 =, 8
d'avoir fait un mille il en saurait rien répondre, L'onele Jean: arrêta LL Giioérité est-un-don aus | are
*: plus long. [so hev al devant la loge.du gar- rare que l'intelligence lobe 1 Direction artistique de MM. J. R. Zanettin et H. B, Le Franc
._" à Éevoyageur: n'était cepeñdaiit À Hdien, sortit sa bohrse et paya}.*. on-ne-suiMit" SANS injustice 1
*"Ÿ pas causèur au gré de l'onele |eonséiencieusement six soûis, trois Th iron de tous. . | Admission: Toutes les places sont réservées:
Le Jean. Celui-ci eut beau - parler, | Pour se r, trois pour'revenir. Là-h 77 : CES i 50 sous; 75 sous; $1.00; $1:50 :
© questionner dé dieatement, donner | dessus, ! ’auire fit remarquer que, st | - |
au monsieur les meille yres chan | hez lui, on n était ‘pas de} a sorte ‘ RECETTES " ES NB On s'attend'à ce que cette représentation pren-
" à A |
ces de dire qui il était, d'où il-ve: [re tardé au pont de péage:
nait, qmelie était sa profession, et — Nous nous
J lqua-t-il; 'estè-dire ue.
|payons une fois pour toute l'an-
. Pilules reconnues, pour jus va- l'uée ; dès lors nous sommes gbon-
; jour. —Les Pilules Végétäles de | nés au pont,-et.nous Pis OS SANS
.. Parmelee sont le produit de l'étu- arrêter,
} Led soignée des qualités de certai-
nes racines et herbes et leur ac-
D tion sédative et laxative suf l'ap- | fouet, à son cheval.
“ : pareil digestif. Depuis des -an-! “Ce
|: nées ces pilules ont la ré putation | peut-être qu'il va m ’en
N . d'être la meilleuré purgation {trer!pensa-t-i
æ": dqu'on‘eonnaisse. Dès le début où né veut pas même
5 reconnu eur valeur de jouir de | fait
la faveur pppulaire
C'est plus commode.
ur gagner sa wie!..
:-ele peut s'exercer en une infinité. de |
Îla piété des fidèles, et qmi-bénis-.
1 saluent. -
Et püis, il n'ont ‘pas néces-
abonnons, expli-|
nous À
—"Marehe le Blond! fit l'onelé
| Jean, en allongeänt un cou de
partieulier- kr, s'imagine
remon-
. Un homme qui
ire ce qu'à
Jah
voilà 1 up secret ! es éoinme si
172
ve vale dy Fey pre
L A
o.-mR meer
GILLETT COMX
LL Marthe, le JA
Ms es loin, il ÿ. a, au i bord
emin, une grande éroix d£ | masques. Aves. votre re “f
bas, une : de cés croix: élevées . par | motx. ét de él}. shetouy reg avce
une tramehe de” pains et ni dr
médissement.…
sent nos eampagnes ; devant èlles,
"Îles femmes 6 se signent, lés homimés . D
- Sandwiches au ions
. Ÿ, 26
——e— he
En passant, l'onele Jean seul: L +
peu voyagé dans, nos: enmpagnes
et ne éonnaissait pas cette belle
éautume, admirait, le. paysage et se. : Travaillez-y une wrante tasse
n'avait pus apercu l'humbde eal- de fromage ripé. : EE k
vaire, où n'avait pas pensé à lé: die mm
Lt FIN DU MONDE
14 -enillerée de méntarde françst-
“Voilà” qui. est curieux, se dit
mon oncle, +4! n'a pouftant pas
l'air d’un hérétique : jl est allé à |
la snesse, il a diné au presbytère. !
Et il n'a par salué la Croix !.. nr Ps
Je n'aurais 'jamasi cru ca: d'im La guerre qui soulève les nations
chrétien qui se respecte. . Ah! cès les unes contre les autres depuis
gens de l& ville! 2.7" bientôt quatre-ans, donne =
Appüremment soulàgé de n’ayoif sion de la fin du monde. Les morts
À : ! » n’avo
1 Pre re L soulagé ç de innombrables, les ruines, l'effondre-
plus à subir interrogatqire «ment des empires; la rise en scène
l'oncle Jean, le voyageur ‘ jouis- des inventioris.les plus exfraordinai-
sait, de Ja. promensde, examinait res: l'état d'esprit che? Ceux qui Hop
Mes(fermes, les champs, les | bois, vernent les pays belligérants, tôut
sans se douter dui-trouble, qu'il ve- | cela se confond avec les signes a:
nait dé jetér dans l’âme de l'on-, vant-coureurs . dé ’vétte catastrophe,
cle Jean. bi + [que les saints livres énumèrent
Celui-ci pensait encore : Faut |Comment ne pas remarquer la con-
‘pourtant pas juger trop vite. Je | cordance des ambitions palestinien-
me suis peut- -être trompé. Je ais nes des Juifs, les grands mots de
Fle surveiller, pour, voir, en afri- | “Société des Nations’ lancés par te
vant à la Croix de Beauséjour, - |entrépreneurs de la reconstruction
mondiale. et la prise de Jérusälem ?
Surtout l'impuissance ou lès ‘hom-
6:60 «
4 Croix de Benuséjoug-est à
” Sir ds |
SandWwiches aux’olives.
Mélan ez la ghair dés oehves
ER menu avec de la mayonnai-
se, puis étendez sur.du pain blane
non beurn mais coupé bien mince
“
ésireuses-d'y-assister foront
Il
PS:-
» CR
Sandwiches de salade aux soix
© Broÿez “des noix. de. Grenbble
‘anglase, où des noix ‘du: Brésii,
dans la machine à ‘hacher la vian- | |
2:
€ ) pe ur cent;
à cette représentation:
de, ‘Mélangez avee une. égale
quantité de eéteri haché très fin, |
es, ajpates, une max onrtaise faite
a tion. et
acquérir
ighomineuses ;
ON DEMANDE
dra les prüportions d'une fête nationale. Les: personnes
‘habitant ‘en dehors de Winnipeg et de. Sint-Boniface
leurs billets fe plus tôt possible. Elles peuvent adresser
leurs demandes, accompagnées du montant nécessaire,
à M, ds H. Berge vin, Boite Pastflé 3182 Winnipeg; 2
Vous diderez deux bonnes oeuvres en achetant... ;.
». *. , des billets pour-cette représentatioh: 1.
ge Française, qui bénéficiera des recettes du montant di
La propagation de la langue Trançai
Car. bealcoup dé paxsonnes. de
compre nnent et parlent Le fran ais !
59 ——
C'EST UNE OUVRE | NATIONALE |
+ à
Bi dd
LA à
CP SEA
NV DM ED
va ee eee AU san _€ha: A2 ewitarées à table de beurr e C'est" expiation* qui continue. . verselle.: les événements leur donnè- quel eau a soumet. Le À sage
péau.…. coin de l'oeil, il érut | fondu ajoutéz 115 'euilierée à a " Baumnann, encore plus attentif, à rent ‘l'imrainence de .l'agonie uni: . _ es Fret et <
; | voir que “T'étringer n'avait pa | ble-de farine dans une demie gho-|ce qui: se passe, discerne des signes |rent, autant de raison deÿe fair: Hs 2h rl pret
salué! Le: pine dé lait: Faites 'euire en pâte caractéristiques :l'apostasie des peu- qu'à nous, Cependant le monde con- ape es À D le
En éffet, le eitadin, qui avait | épaisse. Retirez du feu, ét. #jou ples en tant que peuples-et-ia réin-|tinue À travers es bouleversements, peer lé dans Een #3 un
n éffe n, ai tez paprika et sel ati goût, pris tégration des Juifs en Paiestine, les ruines et les renaissances. 41 fni- témoins sont, la plus ‘solennel
. Scrutant l'avenir à travers dé c=
qui est; il écrit: “ne faut pas si
maginer que les paraphes étant mis
au has des traités de paix. tout. $era
conclu. Le malaise commun pèsera.
plus êprès qu'avant:
d'Etat aura partout affermi ses po-
sitions ;
traitabie., Une seule forteresse,
à glise, restera debout, plus habt que
lui; logiquement, iF jettera les: nras-
ses. sur.elle afin de la culbuter. Jus
qu'où : Dieu le laissera faire,
l'inçonnu. Mais, si-te désordre géné-
ral persiste, pouvons-nous SUPposer
que les thâtiments, cesseront? On
"if dominera en déspote. it
V'E-
RE
DES GARCON:
DES FILLES.
La güpériorité du Suècess Col-
use est attestée par les, résul
| quelle aifés flnisaehi per ter pis exercice.
Uh-sens mystique dé cette |
ti ro + PE “ la Par de l Sous = mis en éveil par ‘lès parotes dui Sei:
ta rance fait son ini ur et par les év R
de croix, écrit Emile Baumaon,. dans aù < ire rs
La Paix du septième jour; elle n'est
pas aü*bout de la: montée, mais en-
[tré chaque station, élle jette derriè.
re son dos une loque de ses erreurs
quelque chose, au Martin, saint Grégoire le: Grand et
fond d'elle-même se convertit.”
Le socialisme
c'est !
esta. :
; uns aux autres ui lien
Par 1 co le monde va
au Ha lui à like.
a a qe Pattoi gi «it. subit
{des Monlésenient, Qui ‘ot1, mi
l'air d'une agonie définitive. On eut.
aves. l'effondrement de Pémpire 10.»
du retour or Sn detmain or, les invasions barbares ce
M. Emile Baumann, spectacle issant { 1 se prolongen:
£ agi SR Siéciés:. On le vit vo
ntirénouvetér an 1Xe et Xc siècle" avec
les assauts que les Normand: et ts à,
Musuimans donnèrent. de tous: cts
d' l'empire des Garlovingieñs, qui, ve e
put tenir, | Ga fuf,de mème
poquerde Hi gugrre de. Ceñk ans ‘ct
des guerres de religion, Tes. guerres
européennes de: Ir Révolution et: Qu:
premier Empire prâduisiren
Voilà a RE lex énrétiens |
LE
cru son retour prochain ; : ünt dé-
Couverts à maintes : tsptioes les st-
gnes irtdmbirables de Ye fin du mon:
Wie
de. L'Antéchrist Ini-Mmème. étiit né impression semblable. Aptès con
disnient-ils. Ce fut le cas de saint on ‘prend vojentiérs coÿ bouleverse
menas, gigantesques de: l'histoire
et saint Vincent Ferrier qui -prêchè- | POUr des répétitions dé sa fin, nu:
des répétitions générales. qi aient?
eu lieu. Elle prépare, sans aut dont:
la Gin d'un‘moñde où d'une civilisi
tion, ce qui revient-au-même,
Ce pessimisme d'a rien dé pous
Feat après Avoir tout perdu,
hémmes récommenceront ls ént
à le:faire tant de
ra néanmoins, em dépit de la foi
brurale de veux qui 1e-gratifent des
ributs divins, l'étérnité par .exem-
ple. Mais quand finira-t-il? Dieu est
seul à connaître le jour et l'heure
Cette déclaration évangélique,
puyée par mé expérience plusieurs
fois séculaire; nous impose une ex-
trèmie réserve.
"Que penser
1= t
fois
alors dé ces ‘événe-
f
DEMANDEZ
CZ . SRE t Lu RE | Fe
- Demandez nos prix'et nos caralogues ou toute
Dom Beise
7) .
choôse‘que vous pouvez désirer daris les prodyi ts
en feuilles de noires où bé LE
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face, avee un sourire eon-
ne talisie Voir tout ee petit, monde | Connaissance
rangé nutour de la grande table.
ï quelle füt, on avait dû |
l'atlouger, quai Justin, le dixié
me, fut assez haut pour s'y asseoir.
Le père, placé à: Lune des extrc-
tités, dirigéait Jà ‘manocuyre:
D'un + de mari, habile, il tran-
chait ke phin, le: bon pain de
campagne, solide comme
mains qui l' ont, pétri, et vlan la
trarelie volaït ‘dans: l'espace pour
atteindre les petites menottes dé-
jà habituees à ee jeu et € était, ‘à:
chaque nisladresse, de joyeuses
fusées de rires.
"n: te, teinps- li, déni Mriat di
‘ses difeipies 8r qüelqu? in in ai:
ine, He gardera: ma parold, “ét inmgn
: Pêré l'ahmera, et sous Viendrons à
fi, et nor ferons en lui natre dé:
meure. Celui-qui de in aber pas
né kurde pes ipes- paroles ; et là
pardle que vous avez € utendsie
jh ‘est pas «le ami, sais du Père qui
À" ms envosé.: Je vinss- ui dit cex
choses perde uit que je demeurais
âvee vous: “mais la Copsolateur,.
l'Esprit- Saint, que Père -en-
Verra € MON NO, gun “cuseige
ra.toufés choses ét vous fera + ar
veniÿ de tout ee qui jé vous ai dit
a
tof rJe.vous'laisse la paix, je vois don. | : Oh! naler pas vous scandali-
ce . ae ua paix je ne vous la donne | devant ce manège :‘ehez moi
RE. paneominé ke inundé la donne, Que oncle, on he, mangenit pas peut-
*. otre, coeur ne se trouble poir | tre 4” après toutes leg gles de
qu'il ve ‘eraigné pas. ‘Vous mi": l'étiq queite, mais on ÿ allait avee
._ Vos entend dires de n'en vais, gt entrain Jet bonne humeur, ;
i de-revieus-à vos: Si voix. in Et, s'il s'en mangeait du pain,
s'il
ie micrix, vous téjaiuriez dé « s'elh mangehit ! Et je ne dis
tue je: vais à monñ Père, car mio rien dés tranches de lard qui
Pére est plus grand qnewoi Je: "tent en honneur et seraient
Vous de dis maintenant avant que | us des, jours de seconde pièce de
| : chont çars ie, :- afin. ‘qe vans résistance, . 1
: oMiez Quand-elle-sera : arr Quant au dessert, habituelie-
| BAR Ji ne n'eïdtretiendrai pas. plus {nient on s'en passatt;-mais--nux
| doisténipe hvee vous: car voilà :ie| jours de fête, la mère sortait pré-
| prince de de
quoiqu'il
LLILEIR
cieusement de: l’armoire
surprise et faisait à
part, une petite part,-car, disait: |
elle, éa coûtait très cher! . Et
d ailleurs il en aurait. “fallu une
tonne pour rassasier tout ee. Ba-
taillon. Mais la grande raison,
mon oncle la donnait à sa fenime :
“Il ne faut pus des gätèr, vois-tu,
c'est du solide qu'il leur faut !”’:
eOrceepettonende te frequetr
tait pas l'école. Que-voulez-vans,
elle était Ki loin, st loin... à l'au-
tre bout-du rang; et puis on était
pauvre, et pensez donc à ce que
“onde qui va.venir,
j'ait-aueur droit sur
Mais afin que jé monde von.
His que j'aime mon Pèreet que
“+ je fais ee que mon Père in of
doûïné, © a .
te D
C'EST CA MON PLAN
| MONSIEUR !
quelque
chacun sa
vi
” On n'y vivait pas richement :
non certesthba-maison,—grande
‘comme Ja main, n'avait que ‘deux ss
-:- pièces en bas: au-dessus. était le
CHE ce. ais no ibrès aie aurgit coûté! Hraurait fallu
ur: ki hæbiller 1 »
iwbDillier le : t:
prière, les sept garçons gr impaiie ut pe raie vi ants x pt andis
par une échelle conte dés x ere grenade
reuils, pour y dormir d'un son d'être si bien vêtu. Qn gaïnbadait
LS ASS OU nu-pieds tout l'été: + chenrise
mell de plomb. Les petites, il y en | pi 6; une chénnist
svt AE ani aient dar Te qui detoile“et xin-pantalôn retenu par
[." sine, pendant que Je dernier, cn une bretelle antique passée sur l'é-
| UNS PU jaule droit faisaient l'affaire. C’'£
core au berceau, logeuit dans da Rene 4h "A
tai conomn à d pt ci
chambre de parents. Monts Pr ane et ça
' Non, on n'y était pas ride, che? ee ex : Re
j' mon oncle Michel, mais on y'vivait c pou de.-même, pas d école,
esttait déplorable. Or. la _mère
avait.un brin d’ instruction ; elie
écu-
3
à: à
! Servee vois des Poudres de Mil-
‘Mie Dutilleul reçut l'offre ave [sean de nuit l'effleurait ur
ep L'on convint, sans | de l'aile entre les saules, il!
w. Fr TT, Vouloir'$ 'eflgoget- “davantage que {frissonnait. Les soirées lient
Fritz pourrait se présenter. Il'ar: Efroides encbre. Le temps Jui sem- |
riva le leyde mar Ezayé deson | blait dou. Ses oreilés tintaient |
bonhe ur" sourire de. Berthe |‘d’ hupatience, ‘et peut- être aussi à |
l'accüeiliit, &tce spurire était tou! eause des paroles: auk $ tehan-
Jours @ussi joli, encore qu'un pet à {geaient J-bas
: émgmatique! L'Alsacten detuanda | Car il devinait Lu. de, pauvre
sé gvaut dé partir tbennetier du Quartier. Bas, que
‘à ces yeux
“Cent aux heures lex repas qu il 1
les |
leurs, de ne pas lésinèr à l'ouvra-
moNsienT,
‘erèvent- als de f
SELS LLC LE CRE LS rl 8 À
on ‘fait, où sait At watt.
sd: ie
® Mon oncle: vit ve M
comme il a encore plusieurs gout-
a de sang breton dans les veines, |!
de’la religion... et, |.
so pags es ans de suite, il# eut
des petits Michel qui maraorent
au, catéthisme. .
Et Je soir, quand le puit ren
trait avec une image ou une fmé-
daïlle, récompense de. son-savi
fallait voir si les parents étaient
fiers !. .
Les enfants grandirent’ L'ainé
allait avoir dix-neuf. ans et'pro-
mettait, comme ses: frères d'ail.
regarde bien droit de ses.
x bleus qui vont jusqu’
de-+'âmé, et lui lance un forntida-
ble :-‘‘Non, non, Vous dis-je, ";-—
qui fit sauter sur ses quatre pat-
tes le chat gris: ronroptiant sur la
catalagne. :,
— ‘*Non, répète-t-il, pas un de
mes enfants ne partira + cette
maison pour aller habitér ailleurs:
On ne peut guère ‘être plus pauvre
que moi, et pourtant nous afohs
ge, quand un monsieur et'sa-da-
me, en villégiature dans la parois-
se, prirent mon oncle‘ën pitié; sa
pauvreté, la peine qu'il se don-|iei tout ce qu'il nous faut. Pas un
nait pour élever ses quatorze ‘en- Er ines enfants n'ira travailler en
fanté, les avaient émus. Ils vdulu-E ville, parce que je n'ai pas l'in-
rent ‘lüi venir en aide. Pensez |tention -de les voir mal tourner,
dont, quatorze enfants, pour. un | moürir de consémptiou.. ou d’au-
homme obligé de travütiler à 1a | {re chose pire que cela. Mes filles,
journée! Hs-vinrent done lui of-lelles resteront chez moi. ‘Des ser-
frir deurs services, .s'attendant : à | y 4e
être reçus à bras ouverts:
‘M Michel, si je vous de-
mauduis de nous laisser un de vos
garcons etune de vos filles. : :"*
— ‘Pour quelques jours? pas
dé refus: c'est pour votre A rc
je suppo 0 ?-Maijs: il faudra qu ils
reviennent ici, chaque soir, à sept
vantes, vous irez Vous «en ! cri’?
où vous voudrez,
- noi.
servantes!!! moi, je dis que e ’é8t
un crime! : r
vous faire de toùs vos’ enfants,
5.
Cr:
laisser à rien faire.
TE
heures CRU Le = ‘A rien faire! Si-vous pen- 1 ii
Non, ce serait pour plus |sez qu'ils vivent dans la parésée, que Sen eviez SL re gun
longtemps: votre famille est bien | vous “vous trompez. . Les : plus vicille ‘fille ou mère de famille,
nombretse. et. nons avons jus-
tement besoin d'un. ‘‘éngagé”” et
d’une servante pour ‘notre ‘inaison
en ville. .:?"
72 *‘Héin!
cugagé!.:. &eorvan-Île v acconnnodage, aident letr mè-
te! en ville? un de mes gaï-[re; on n'a pas Le temps . » ne Pro-
cons... ia fille !.. mais, voyons, mener chez nous.
AUD mCl -
prenez:vous 7°’
Mais votre fämille est bien
nombreuse. vous avez tant de
misère à gagner votre vie, que. .”
‘Est-ce wie raison pour me
débarrasser de mes enfants?.
fafur mes enfants ?
“Oh! non; nous voulions vous
rendre service. …. Ê
“#Me rendre service
mon cher. monsieur,
plus mauvais service que vous
pourriez nous réndre;.., sans nos
enfauts, où serait la joie, où serait
la tranquillité pour eux et pour
nous? Mon garcon engagé} Ma
| fille, se tribiel Monsieur, Jamais
“pour” qui Es
e
seront grands ?””
‘J'ai ruon plan, monsieur:
de quelques üances, je déména- |?
ge ct jé m'en vais sur une terre
santé-et-des bras vigoureux, ‘une
terréten bois débout ne prend pes
de temps à devenir un champ de
blé. C’ est Ça tuon plan, monsieur,
Et je n'en démordrai pas.
Et mon oncle ‘qui n'était. pas.
homme à en démordre, garda tous
ses enfants: autour: de hu. Deux
ans plus tard, lui, sa femane et leur
quatôrze enfants quittaient, noi
sans regret, la pauvre maison qui
les avait vus naître, grandir:;.ils
mais,
ce.scrait le
PA à SA communiqua toute.sà ° science aïes filles seront servantes ; ce n’est |allaient s'établir sur une terre en-
“4 ler. contre les Vers et vous aurez |l'aînée de ses filles, une Lan bine | pas par orgueil que je vous dis ça, | core en bois 4lebout, mais que des
Les gagné la bataille. Ces poudres sup- | de treïge ans, ‘mais qui prenait | car il'y a mérite à servir les au-|bras vigoureux .transformèrent
ci Ê prime ut lés conditions imôrbides |son rôle au sérieux. Elle lui ap-|tres: mais més filles Seraient trop. | bientôt en un beau. champ de blé,
e ue de l’estonrie, pe mgttant aux vers |prit à écrire, à ‘compter. assez exposées: sur-cent sérvantes arra-| Puis-les enfants grandirent; il
j dé vivre. Ces parasites destrue- | bien, nan. pas pour .déerocher un | ehées des Campagnes, combien y {fallut les marier. Rsin’eurent. pes
cr A. teurs ie peuvent pas, vivre.après Ldiplôme madèle, mais, paur ensei.| en astilqui. ton des- bôtises… Éd fde- -peine"-à ‘trouver’? Es mais
L: étre venus en contact avec ce re: gner l'abc aux autres petits, &!|des bétises bêtes! ; pour obtir au père,-ils s’établirent
mède. . Ces poudres font digérer | même pour tenir les comptes duf Le monsieur ne se Coinpta pas | près de lui, sur le ‘même rang,
ces vers qui ne tar dent point ‘à | papa ét faire sés calculs. : | pour battu. Les enfants-de : mon | chacun sûr une terre achetée à son
$ +: tré rejetés’ par-K-corps. Les o1t : Mon, ancle insista surtout sur l'oncle étaient charmants ; il voulut | inténtion. Et mon onele, je dois
' | -#anes redeviennent sains ‘et l'en- | le: catéchisme. Lui-même, -le soit, {les avoir au moins durant la sai- | vous le dire, n’est plus le pauvre
}. faut croît, |après-sa journfe faite, y voyait: | son d'été. En automne, lors du | jardinier d'autrefois. E] est à l’ai:
À à j !
à - ee - — : —
| : | :
{ - ses espoirs et sa personne ne pe-|dans!son: fauteuil. La maman,
; ss 3 saient galère. autour de’ Berthe | Mme Rose..Dutilleul, porte . ses |:
Roman de. APRES L'OPTION. { duis le plateau.de-la-balance, au uarante-einq ans avec uie gravi.
, Si FAN. . [| poids des-préoccupations ancien-|té de matrone aimaute. Inutile de
f i 0 te inais combien ‘son amour se | présenter Berthe. » …
La Liberte PAR it froissé davantage, s’il eût pu |: Mais le persénñage qui domine
- Peer l'entendre de quelle langue indif- [la scène>c'est le frère absent. Son
No Il ROGER ‘DUGUET | férente l'on traitait, loin de lui, rôle inuet n'en est pas moins le
: ; de l'objet délicat de ses rêves et | principal > tot. .dépénd de Jac-
u . aies de sa tendresse ! f ques et Berthe attend; dans
eue 7 , " 7 La: maison : du Cloitre-Saint- quelques minutes il Sera là, ‘Son
gterresen nn ae : - ÎLE tienne s’agité, en effet, dans Ja [arrivée peut encore ui coup fou!
Une untipathie, de race dé. | : Pourrai-je reve dire", {paix du soir. .Non que le désac- | rompre, et il'est DEPER qu'elle
meurait saux doute; eu elle ne | Revenez. cord x règne, inais déjà une appré- Lrompra tout.
demandait qu'à sommeiller, dans | ‘Il revint. Ete/étuit la troisièmie | heusion et une attente. Car il-est parti, voilà plus d'w
EE | l'attente d'u incident nouvel fois aujourd'hui qu ik devait fai. La chambre est grande ouvertelne ee absolument irrité, fà-
d 4 C'était à chacun de lui échapper | re visite. {sur les arbres du Préeu. Le silen | ché, à la suite d’un incident, d'u-
par ses efforts” persénnels, : son | Sans doute, son sort n'en pa-|ce et l'ombre des hautes cimes|ne explication eutre a mère, 6on
: adresse où sa fortune. raissait pas be “auCoup plus assu- moutonnent daus la nuit sous je | ami Jean et Jui, qui est restée un
M, Dicdricht ft savoir un jour |ré. Bien des événements s'étaient regard. Une lampe énorme, voi-|secrét entre éux. Jean a demañ:
à Fritz qu'uue place de chef d’a- dépou ités depuis tyois ans dans la | lée d'An abat-jour rose, repose sur dé aussitôt un Éaun cou de gar-
- #rtes tr AT Ter rit Tr ame 7 4 s +. JU ü e
te Lois, dans son usine, et l'atten- Evait en étran iger au milieu 4 sans luxe, ais quelques-uns sont |pagner jusqu'à .C ‘hôlons et l’ y ins-
ï, dait au retour: existenve lourde ‘encère ‘d'un :pas- panciens; au mur s'étale tout un|taller. Que dira-t:il au retour!
- H fut libéré enfin +, l'8é fhal liquidé, encombremeit. de bibelots d'art, [Quelles explications, quelles - of-
apeebf KE voilà qu'un "3 trois mois: Berthe était-elle décidée à une | des Vieilleries, dés dessine, quel: [fres peut-être, Tapportéra-til?
après sh reulrée, sais qu'il : en l'union prochaine, et Fritz lui agré- ques tableaux, des terres. ouites, Comment aceueiHlera-t-il la mou-
eutiparlé, eur il n'osait plus y re-lait:11? Nul, jusqu'à présent, n'en!des plätres, né maquette origini- | vetle qu'un étranger, un -Alsacien, |,
VERTE, L'able SChulinan : proposa | savait rien. ; He de statue Breéf--une-serte-de {a été recu durant so abserice au
de retourner Jäba$, rue du Cloi.| ‘ Aussi le ms RTE CR dau seul, | prolongement dit vestibule phus foyer? . Nul ne le sait et ne peut
ire": : jt . jen’ attendant l'heure du rendez: | choisi et plus riche." Près des fé. | le prévoir. Pas une. lettre, paë un
Frit 6 Hissa- faire avec t rem-|vous, restait penché sur; Je ru, uétréæ ouvertes, un guéridon'el har- billet, depuis huit jours, n est ve-
e blewenut.: Lui n’attendnit «plus |en face dé la maison alsäciemne, h e'revneés, de éroquis, de 63s #{ nu apprendre à 6a mère, “à %a
5 rien; 1ais le prêtre ‘disait regardant mourir le “Jour dans les t'broder,- : Mais les regards- ne: se |socur, s'il rentrerait en ami frois:
Ci Maxvait deviné justé :.""#veflets.de l'est chañtante. loi. juiseut.guère de.ce côté-là Us va: s& du procédé étiployé - visà.vis
gueht, pär-là.häi ey vers’ le. jardin,
où des dérniers eris d'oiseaux s'é-
teigncat dans des vurdures apai
8 ést' vers *Pâque s-clus. e, ati
r nourant ‘ : )
L es maîtres de
Ca ns.
M: Pierre Dutilleut. mfligé -des
lourdeurs d'estomac de la cin-
quantaine, somuieille légèrenieut
d'un ami, où en fils'apaisé, après
guelques jours d'absence, par ia
Ces
jou Rohiy, devine plutôt qu'elle ne
FÉIRS ni us #0
sait les motifs de ce départ et de
là rupture de sa famille, jusque:1à
si unie, avée: dent Je sergent des
chasseurs. :
Aussi, je ne sais quel énerve.
pe A2 ge que le |:
mais pas” chez | Le Noël du 26 février. dernier, ces
Engager ses enfants comme judieietix conseils :,.
so NE Michel, qu'allez-| 16 neüve,. une de cé bonnes vo-
vous ne pouvez en conscience Tes |5t* même dans: ls jeunesse, je. lui.
grands viennent en.journée avec [S0Yez siwante ‘en religién. Vous
moi; les petits ont le sarclage du aurez tant de eonseils à donner,
jardin en été, en hiver ils fendent [surtout si vous vous marie! tant
ne bois: les files: font :le lavage; de sottises à relever, d’ignorance à
TÉL quand tous vos. enfants |" très décoré,
neuve, Avec des gars qui ont une me dont il ne se-défiait pee qui
réfesion ct parie Féspeet.: Berthe.
mème, autant et plus que. Fritz!
emnpegnes.
lé bon'blé, c'est sur les bonnes
terres qu elles donneront le inbit-
nos hommes de métier, eeux qui
‘‘vañt-en jourhte’" ont-ils. parfois
songé à l'avenir des petites qui
les entourent? 1] leur. faut pins
que He
de notre race est à!
—“*"Balletin Paroissial de l'Imma-
‘eulée _Conceptien."”
PONS MR
A DES JEUNES FILLES
—
o as
M. René “hé a “publié, dans
Si j'avais en ce moment près de
moi une jeune fille vräiment jeu-
lontés quine sont pas nombreu-
dirais :
Quelle que soit votre vocation,
suppléer, de faiblesses à soutenir!
Je jouis souvent de ce spectacle,
d’un homme important et sectai-
renonuné dans
une certaine -science, nul en tout
le reste, et que devine, démasque,
réfute, confond, -de-nui-
re, d’un seul mot, une petite fem-
sait son. catéchisme,
Lisez les bons livres, dont. la r6-'
putation est faite, beaneoup d'’hiss
toire de l'Eglise, de bjographiies
de grands pe rsonages, peu de ro:
mans, parce que le romanesque est
déjà en vous: Surtout n essayez
ni à présent ni plus tärd ‘‘d’être
au courant 7. C'est une entre-
prise tout à fait folle, inutile, dan-
gereuse pour l'équilibre de l’es-
prit, d’un ennui pluÿ certain en-
core.
Ne vous atErIsTeE pas du peu de
fortune’ de vos parents ou de vo-
Lire fiancé. . La pauvreté rend- toy-
te chose difficile. Mais la médio-
crité est un merveilleux départ |-
pour un être de courage, Ceux
Le bon marché de l'Extermina-
teur de Vers de Mother Graves le
nent
met à la portée de tous. On peut | de Triner.
se le procurer chez tous les mar:
chands.
ED
ment, sous un calme affecté, agite | Voilà dix minutes que nous
Un drame vé éritable,
Jes “esprits.
quoique: sans-éclat.-se-prépare et
déjà se jofe à mots cachés. Pour-
quoi, comme l’on marié une hon-
nête fille, — les pensées de tous
ont si longtemps tonvergé vers.:ce
but-de.toute leur vie, qu'une sorte
d'atmosphère d'angoisse s’est
créée et flotte autour des paisibles
acteurs. Malgré eux, le père, ia
mère, la future, le frère, le: pré-
tendant en souffrent comme d'un
air trop lourd: Le moindre souf-
Île peut provoquer l’orage.,
Et c'est pourquoi Mile Berthe,
surtout, est nerveuse. Elle vient
de laisser là: définitivement son
buvrage. Elle se lève, réveille au
passagé son père d’une embras-
sade, et se met à ia fenêtre, : le
ront tenqu aux -sSouIHes cTre-
puseule ::
fte
[ieur rendement. Nos eultivate#rs- trai
amais y songer, car l” avenir à
- H'aurez toute votre vie. Le secret ?
Fonca dû vous le dire : c'est de s’oit-
‘tristesse,
des di
pas de regarder aux éétielles de la
maisôn, et te laissera la paix, tan-
dis qu'une jeune fille riche -te |
dux repas et’à tontes los folies de |
ce. genre. : Ensuite épouser une
jeune fille pauvre est une manid-
re de faire l'aumône.”
Soyez joyeuse. Qu'on ne pleure
pas chez vous, du moins quand
vous’ êtes là! Veus avez le de-
voir de répandre la joie. Vous
blier dans la distribution du bon-
heur, ‘Vous désirez que je sorte
avec vous? Soit. Que je démeu:
re? .Me voici.’ , La devise n'est
pas facile à suivre. C'est celle du
sacrifice fréquent, et il se mble, à
qui la lit seulément, qu'une vie
ainsi commandée ne va pas: sans
Mais ceux qui ont-p
observer ces mères; ces soeurs ni
nées, de qui rayonne tout lé bon-
heur d’une famille, ont_-reconnn
qu ’elles étaient joyeuses, d'une
joie très supérieure à celle du
nionde, et. qu'il ne conrprend ‘pans.
Partout où il y à un foyer heu-
reux, il y a une femme qui est
dinsi oublieuse de soi, :
René Bazin.
A
LA LASSITUDE
Deus qui souffrent de nains
tion se plaigngnt souvent ‘d’une
sorte de lassitude dont ils ne peu-
… Ah! qu'il fail bon, ce soir!
Pourquoi dors-tu, papa?
CHAPITRE
-Madamé et Monsieur.
Qui? Moi? ait lé père en.
s'éveillaht.… Je : ne dorinals pas,
La preuve, c'est que j'entends
out er que vous dites. Añisi, l'on.
‘à In porte du pa-|
vient de fra pp
diér, [et ta muère a dit tont de sui-
te: ‘C'est Jacques Ca ne l'é-
tait pas.
Ce C'était ?.: RENE
Ei Je joli sourire se faisuit déjà
malin. o
— C'était Je ne me souviens
plus, me foi! dit le vèré Je li
#ais le journal." .
— Vraiment, moh iotit papa !
Ve, ‘tu lisais eotine ta entends
vent donner aucune explication,
Cependant la ‘cause “en est très
simple. La toxine générée dans
les intestins produit des maux de
tête, dé la lassitude, de:la dépres: |
sion, .et une tendance au découra-
gement. Dès que sont restauréés
Yes conditions normales des intes:
tins, eette. dépression dispe rail.
Pour y parvenir on ne peut. rien
trouver de mieux que lé remèdes
végétaux. Un des meilleurs est
l'Elixir Américain de Vin Amer
de Triner. Ses ingrédients, her-
bes amères, racines et écorces.-ont
une grande valeur. médercinale,
nettoient l’estomac .et:° assurent
aux orgaïes digestifs leur fonc-
tionnement normal, L'Elixir Amwé,
ricain de-Vin Amer dé Triner A
üu remède quine-désappôéinte-pas-
Prix #1,50 Chez les phermaciens.
Pour lesrhumätismes, le lumbago,
les foulures, ete., usez du'liniment
Prix, 70 sous: Joseph
Triner, chhmistefabrieant, 1333
1343 $. Ashland Ave./ Chicago, I.
da
1e
soufflions inot, maman ni moi, el
il n'est-venu personne,
La, imnman dit :
—Monsieur rêvait seulement à
son grand garçon qui ne revient
pas.
— Qui ca? Moi- pr otesta encore
le père. . Je révais? Allons done !.
C'est toi, Rose, qui ne fais que par-
ler de Jacques depuis ce matin.
Mais thoi!.
— C'est bon; dit Ja mère. On te
connaît. Dors, .va!. Et toi,
Berthe, laisse-le tranquille. Tu
vois bien ay ‘il ne voudra jamais
convenir qu'il pensait son gar,
con. ‘ Pourtant, il est aussi inquiet
que nous... Pourvu que ton frère
rentre ce.süir! . 4
— Oh! gui, soupira Berthe
ann ind # se + | ü
tends, n'est-ce pas? Tu es touté
drôle. L'on dirait que tu as peur,
— Peur! : Mais
c'est Cat, ie Votdrais bien” qué
Jacques 4oit “révenu. Qu'est-cé
au'’il va dire ? :
:, + Rien, ma fille, Puisque ton
père approuve, 'ce n’est paé Jac-
ques qui trouvera imâl à ee que
nous avons fait.
Berthe n'était pas;tranquille.. 5?
— N'importe, dit- elle, I u'é-
Par pas question de me: j
Mon frère part huit jours. Et
| voilà que, quad il-va rentrér, | ai]
faire Bera: presque : sb ve:
Avec un Alsacien, ensore! il
io voudra pas. Lee
— Voyons, Berthe, vas-tu té
mettre en peine dé ton frère, à
rprésent. C’est sa faute, à lui aus-
si. Îl obtient quinze jours de per.
wissjon et il en pasée huit loin de.
nera gux fêtes et aux noces, |.
a
e
VON
14 m. du, so
Mai
- Pisésehé-APeñientts # Pier.
ve Célestin. -
À Tandis Bernardin de Sieu - *
De:
21. Mardi. “Hospice, sai
2. Mercredi—Q--Temps. *$; Emi.
se le; -thart:
23. Jeud=sS. Didier; évêque.
nat! e Rog\
< san Q
: re VE, :
i Reno Qu. +6 CAEN +
|CALENDRIER RELIGIEUX DE
«, L'ANNEE re
‘ Jours d'obligation :
Tous les dimañghés de l'annés;
la Cireoneision de Notre Seigneur,
ler junvier; 1 "Épiplianie de Notne-
Seigneur, 6 janvier; l'Ascension
de Notye-Seigneur, 9. mai: La
Toussaint, ler novembre; L'Im-
maculée-Conception de la Sainte
Vierge, 8 décemibre:; Noël où la
Nativité de Nas Séigneur, - 25
déeembre. ‘
Jours maigres où d'abstinence :
* lo Tous les jours des Quatre
Témps dé l’année. — 20 Tous les
vendredis de l'année, excepté '
ceux où se célèbreraiént les fêtes
de Noël, de la Cireoncision, . de
l'Bviphauie, de la Toussaint et de
AU lmae me Jo Le
1ecption.
jours des Vrifies où l’on observa
le jeûtie. — 40 1e Mercredi des
Ceudres. -— 5a Tous les ineréredie
du
Saint. jusqu'à ‘mtdi.
Jeûnes d ‘obligation.
lo Les Quatre- Temps, qui tom.
r4
®..
bent cette année, les 20, 22 et 23.
février; — les 22, 24 et 25 mai; —
les 18, 20 et 21 soptembre ; Jon
18, 20 et 21 décembre. — 20 Le
Carème tout. entier, excepté les
dimanches. — 30 Les vigiles de
Noël, de la Pentecôte, de l'As-
somption et de la Toussaint, Il
n'est plus défendu, au mênie re.
pas, de prendre de la viande et du .
poisson, = On peut aussi échan-
ger la collation’ du soir avec Île
diñer. = Le jeûne et l’abstinente
le Samedi-Saint cessent après le
midi de ce ‘jour.
Depuis le premier dima
FAvent jusqu’à Noël
ment, et depuis le mercredi dés
Cendres jusqu'au ditanche de
| Pâques inclusivement.
the de
Hoûs, sans même que nous ayons
une adresse où lui écrire. Pendant
ve te ltps,. Rolls - -se fait présenter,
s exi- Fe | jun, de Snake au
geo 4 ten de la | du "
| famille, la°santé et la meà Ar :
chagrine non plus "
Jest peu, red a celle ne rougira
. Vendredi—Q.-Temps. SS. Do. .
-Temps. S. Grégoi: g.
Care, — 60. Le Samedi.
inclusive. :
il-demande à. être recu de nou- :
Vetu, tu consens... MAMIE
- Oh! je éonsens!.., dit Ber-
the: : She VE HA
Enfin, tu n'as pas dit non...
Ton père prend tous les rénsei-
gnemente, le jeune homme nous
paraît convenable, il ne te déplait
pas... Nous ne pouvions pourtant
pas 1 obliger à à faire anti-chambre,
Ini dire: #*Monsieur, repassez datis
huit jours, le frère de Mademoi-
selle est je ne &ais où ; il noûs faut
son avis.”’ C'eût élé ridieule, ma
chère.
Berfhe ne répondit p: oitit, Elle
regardait la eime asdoiibrie ."des
grands arbres. FPT RTR
yo 5, at “fr D rat
leul, pourquoi reste-til si long-
temps parti, notre sergent? . Ja:
mais il ne ous a Joué un si vi.
= f -
toit ii qui n'auraît ÿ je
mais voulu, il y'a un an, perdre
loin: de ,nous ni soir de ne
sion, le voilà qui s'émancipe..,
Huit jours! .. Qu'il soit allé con:
duire Jean, jusqu "a Châlons, e'ést
bien. Mais depuis? ,
Mile Dutilleul sortit dé son rêve
et expliqua : »
est fâché contre nouset qû "il nous
le montre, “7
— Fâchét Pourquoi?
-—— Je ne sais pas... À case ds
départ de Jéan, sans “dotée. Jean
était notre meilleur ami, presque.
un frère:— 11 venait iei
‘ehéz, Jui
était" morte et son père remarié,
comme
mous, lui seyvions un peu de {fé
] ÎTE CRE De jf
“je_erois-que Jacques,
Depuis que sa. mère |
»
+
Le
,
4
+ 7
Es
t
x
ï
n
so moûs conduire gu boyau qui méêne
_* fnes,
ue grañd bois qui est
‘hors de la tranchée,
répondit pas.
! erhoit à nous marier,
Le 7e pensé à ça?
ü se ti
Furet a ées pap
sn 4 est dt
Lan Tente"
nos
é murs degtelés par le }
.|dement eontinuel ce
int: - Continnel nous aveucons «ur ja ne
maus alions Yetaber dr |e05e avec des gestes bu
dns ane rafale d'obus vint s'aidant . Lee du fusil
tire. ‘-Nonaentendons des | d'une eanne.. chez nous. C'est d'abénd M. F.
s aigrs,. cris de douleur et de |" C'est. ineroy .Be trouver- Carrière, notre excellent ‘institu-
poir; quelques-uns jettent en. plein jour debout sur la plaine |teur du village, qui; le 2 mai, tom
Ausil : : se plaignent dou-|où quelques survivants 8€ rappel: | be dithaut-d'ur escalier, s'enfon-
mnpnt: d'autres, ‘à côté, ent s'être coulés dans J'ombre ce uné côts et se fracture la'ela-
étendus, frappés À mort. * Ah !|avec tant de préexution, où les au | vieule.
nous avons envié le sort des |'tres n'ont hasardé que quelques} ONoeil qui, voulant procéder à la
Ar en nous disant ; ‘Eux du |éotps d'oeils füurtifs à ‘travers les réparation sérieuse d'un instru-
moins ne verront -prs l'attaque : créneæux en bois de la première ment aratoire, ianguc le pied et
à semaine “dorhière les acci-
dents étaisut à l'ordre du :
ts: __. se éauver, tandis que ligne. $ ù [dans sa chute se brise le tibia. En-
nous ??.… jé (A suivre) - [fin M. P: Buyens, en luitant eon-
Une voix eric: “Ceux qui. ne + Le se tre le feu qui dévorait son'étable,
aout pas blessés, en avant!" et z RO ve s'êst affreusement brûlé figure
: Peur rire R
Menattur Let Madame ‘‘Dihu:
net’ ant recu comme cadeau an- || “hôpital: dé Dauphin
niversaire -de lent mariage un
charmant bébé rose: la joie et le
bonheur des deux jeunes mariés.
Au bout de plusieurs jours, la
dame dit à son mari: :
— Môn cher, i! nous faut pen-
ser à trouver un nom ‘pour notre
gracieux bébé.
-— Sois sans crainte,
inynédiatement
therche.
nous voilà repartis, tête baisée ct les mains. M. O'Ncil et M
et grôgnant. Le bombardement
- devient de plus en plus térrible;
noûs longéons un bois qui. doit
où, nous
trop long.
Hélas !
sent
FH +
encore
en Prerière. ligne.
Dra, de camarades
Ftombésien route.
A ln lisière du bois nous croi-
sans d'autres régiments, et à voix
baëse on se pose cette question :
QueT Régiment? Malheur!.un
“obus de gros calibre nous coucha
à terre. Que and nous nous relevà-
Ü n'y avait plus de Capitai-
ne, plus d'officiers; nous sommes
une vingtaine, sans ordre et
‘ sans chefs. Au bout de deux heu-
res de courses folles, nous retrou-
Es ris de Régiment qui comrençait
* 4%. Bois à susadh}
Âvee les he “A X] JOUES Huy, SO
Vénus plusieurs colons non -coréi
ligionaireS malheurensemne nt:-H0s
nôtres viendront. sans doute plus
tard, quand il-u’y aire plug que
des-restes éloignés. Piusie urs 8e
présenteront, et, lorsqu'ils appren-
drout que les'autres qui les ont
: dexanéés ét qui ont-eu le flair des
Deux jours plus bonnes chances:se sont si bien ser-
tout désolé. vis, ils: diront la: éempiternelle
‘— Serais- tu inalade ? lui dit son phrase : ‘ “Ah! ét j'avais su céla je
épouse. me serais pressé davantage’”. [ls
— Non, s'en iront en se réprochant leur
que cela. lentes à prendre une décision:
pe Qu’ Y'a + nl Chez nous ils auraient trouvé jus-
ma chérie ;
je pars à la re-
tard il revient
oi bien plus grave
énétrer dans le boyau qui de-
Le ‘ae tu, done,
Sera dans un abri |
jour, ;
Puis, c'est I tour de M.
Buyens ont dû être transportés à.
l’espérons, leur séjour ne sera pas |
tement-le petit coin de terre. qu’ ile
faire de beaux tours d'auto, lors.
qu'on « travaillé toute une se:
naine” 4 5
‘. ... !
Mile Clothildé Boiteau, “dé Nor-
wbod, est clièz sa soeur, Mme Jos.
Vaiv: io, pour une semaine.
st SES En.
M. Alex. Caron, accompagné de:
sa soeur et d’un ‘de ses-#snis, ‘est |.
venu dire bonjour à sa soeur,
lhabit” civil pour. $e revêtir du
Maine Thomas Comeaiu... H laissait
khaki. Nous ln souhaitons bon-
ne chance,
Lise er
Nous avions le plæisir de voir
parmi tous. un des nôtres, Jos,
Lave, en anifornie rar espé:
rh dit * aura sou rer" de & tés
petits” congés ê MES IQ 1
; +: © ::
Mllé Amanda Lacerte a passé
quelques jours chez sa soeur, Mine
41.-E, Rochon,
? CS L 2
ï \
& LL s ;
Baptèmes
Mine Achille Järrie, un garçon,
baptisé : ‘Joseph-Charles-Achille.
’arrain, et marraine M. et. Mme
Chätles Vauriot, à
L'épouse de M. Charles: Cor-
nier, un fils. Parrain et marraine :
M. et Mme Jos. Cormier.
Le 3 de M.
mai, l'épouse,
les
tes. N'est-ce pen au il fait bon del.
Ch
Jeudi, jour de 1 Dr qus
vous MM. Hervé St-Laurént et
ar Pestosiers, de Sainte-Anne
des Chênes. Comure toujours ils
tous ont bieu amusé par feurs bei-
Îles chansons eomiques.: Nous De
.pérons les. revebr bientôt mu n
[lieu de ñous. sé
POULE D'EAU
| ; ;
———
La navigation gst maintenant
ouverte et on-n’entend que lé ron-
flement sonore des inoteurs sur-Îes
ondeX calmes dé nos cours d'eau :
L'ürganñisation d'un ‘distitet
scolaire, qui. oitleva beauconp de
“iscüésioi det;ces temps derniers,
fut vivement coñbattüe par. l#
&ründe major ité’ de nos célibatai-
toi, qui sont d'avis qu'un bureau
de. posté, serait plus convenable,
pour le présent, qu'une éeoie or-
gauisée sélon le plan de .M. 6.
Northrüp. ï
1 L_] . L]
M ét Mme Jos.
ont quittés ces
pour aller
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Millette nous
jours. derniers
demeurer, à : Winni:
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rendre en préenière ligue, où nous [ei beau char. /Mais sa première S.à
arrivämes vers 5 heures 50, Nous [promenade donné lieu à un ae- TE Ur : ù
nous repesons en attendant l'heu- beident assez-imprévu.” 11 revenait |: M. Je Corbel bn SEA
re fatale de l'assaut, de Sainte-Rose et, il -pussaif au toutes ses ‘eourses ‘con ortaide-
iDerrière nous se trouve hn | village de Sninte-Arnélie, vers ne fc nt assis dans . un Maxwell,
rempli de piè- {une heure après mmuit ‘les Hrmiè- qu'un labeur pénible et assidu’ lui
ces de canons de tous enlibres: de: lres ati frappèrent dans'les-fené- | bien mérité.
puis Le joujou dé 75 jusqu'au fa-|tres de M. Carrière le firént #7 ST, Olivier.
moux 30): voire.-snéme 280: et Lreiller en sursaut. . Se-Jevant à ; à o
tous crachenf à In fois un déluge moitié éveillé, il se précipita dans E LA SALLE s
‘de feu et de fer, :
se. brisa du clavi-
6. heures 10,7-: Nous: sautons
gauche et s'enfonca
l'escalier, où. il
teule du côté
L
+ Tout
emmenés eme emnireeranmnteenernfenrnrtemahenni “fire
comme proje- funé côte." - 1. prospère ici. Vois avez
tés par un ressort iivisille ; nous! |: EEE : di en juger dimanche :‘la cour de:
pbliquous légèrement éWr notre M. Joe Boum à eu la malehan-Féglise ainsi que la rue en avant
droite pour perme ter
L’
aux charsice dè voir
le feu courant s’atta-| étaient remplies d'autos. Nous
WE. den & à. E Pur Hs ARE FRE SLS ER net 0 IT CT PES HATETTE
; fille, à ce pauvre garçon, ear il dep rreils malheurs, et Jacques tout à écup. Jacques devrait être
-m'étuil pi 5 heureux avec; sa nou-[me le rec sim: audait, tant, sonlici Pourvu qu'il arrive avant M.
velle mère. : RUE: - H- fallait bien l'arracher ERohly! Et ‘comment: va-t-il le
Mine Dutilleul, à son tour, ne fan pe rpétuel malaise de sa vie de [trouver? Se plairont-ils? Ah! je
famille, à l'influence de sa belle. | shis toute agacée.,
Papa!
Te r appell ts-tu,- continuait | mère, à 1 ‘humeur devenue vrai: Berthe!-gronda la mère
- d'autre, les: scéne qu'elle faisait ment trop acariâtre de son père, | réveille done pas ton père à: tout
à Jean; FL il venuit, par ex-| Il serait mort dans peste atmos- | propos.
emple, chercher Jacques ici? Elle | phère-là: Mais déjà c'était fait.
FE ur peur qu'il ne vit pour moi. |: : Muis, alors, vbjecta encoge le - Papa, quelle beure as-tu à ta
Elle prétendait, fjue mon frère
que sais
aviofis-nous je-
la jeune fille, puisque c'était pour
son bien, pourquoi Jacques sem-
ble-t-1l nous tenir rigueur du dé-
: part de Sün- ami? 3.4
Non, bien sûr! Drotesta Mt | Le. sais-je? épique Ma
Jul gul,un peu génée, dame.
on de Berthe en faisait Et pour détourner sur la ques-
due plus ‘long que $es para-
montre, toit: La perfdulé retarde
au peu... $%-heyres inoins un
quart? Et,Jacques ñ’arrive pas!.….
Je vais regarder à la fenêtre...
On ne voit rien! ”
Un re passa, tiède, embau-
mé.
je?.. . Pourtant,
a un —de-Pot-prt F de nom tenefatfait. 7" < HOn-Un His, = DAPESE
:% Her 46 reste ‘de la nuit, par bébé: ils sont fous pris. ... ». ; Joseph-Lucien*Rodolphe.. Parrain
A deux héurés du matin nous{* à MT D rarbul 4 da. |et marraine: M. vt Mine ‘Aurel
; t de imême dans une Chañtéclair ! Pts AMORTMONTE : VIOUL AR Rochon, oncle etrtante de. l'en
arrivons y de tn £ : 10 ) ; N , éhétgr une deuxième seetion près ï ECS, dead 6 ÿ
n 2 » . é >. + “1,
- dr »ésték k une Loi pe € ÿ: D — — dur village. Il mérite d’être féli. | Tant... ee
; \ètr nree de deus \ Mr ÿ ;
NA grd EP 2 ou 2 LAME cité, d'autant plus qu'il a fait le A
Fey us sh a a KR at RADNEE LES murehé au uoment spportun. Eu, sciaut du, bois, M... Victor
n q e ura Nous NOUS COEHES À
À Comeau s'est fait couper le deux-
iègie doigt dé Ja main. l'est sous
soins du Dr Gendrcau, de
Saint- Norbert, 7", +
à 4 +
les
ILinous fait por d'aphrentire
que XL -Osias-Rochon- ne prend
pas de inieux., Son médecin est
J ds PPT
=
Huile partout prisée, — a, Huile
Electrique du docteur Thomas fus
modestéiment offerte au publie il
y-a uuc trentaine d'années. =On
L'efrait pour répondre aux be.
soins’ d’une petite poptilation mais
dès que devint connne sà valeur
elle prit possession de: tout. le con-
tinentket élle est inaintenant con-
nue et estimée dans tout un hémi-
sphète. Rien ne la vaut.
4 pitié! dit de’ père Boithié a
| vingt-déwx! ans.’ "Jean
n’a. pas |.
voultt d’élle. Si nons tenons à
l'ét Leo, c’est l'instant.
—;Et ce mari alsacien .te. plait
4
|
Ve hs aucoup ?
| Autant lui qu fun a: tre:
Mon Dieu! reprit Mme Du: |
illeuk, qu'est-ce: que Jacques Va
l'aire? "Je, suis sûre qu'il va dé-
tourner sa soeur de cette alliance !
Il est nyéconte ‘nt, ilest fâché, c'est
sûr... Pourtant, il fallait bien
nous éxpliquer une bonne fois
läAvec ée Jean! Ê
| Eviderfineut, n'avait
la. : mère
tionnieuse 50h embarrgs : Ah! qu'h fait don, ce soir! .'} pus la conscience très assurce sur
- Le Élle:ceprit, avec un peu d'y: - En tout cas,'tn m'es vue-æs: J 'entohiis que qu” un 17: .<est SO | ce point. Elle continua : «0
mertume : Ke .". [sez chagrine de cette aventure: | pas!!.* C'est lui! Je descend. J'ai parlé net, c'est vrai.
Û +" Lie: résultat, ‘c'est que : Jean | Ce n'est-pas tomiite toi. Tu n'as |Je’veux l’embrasser la première. | Jean venait trop ici. L'on aurait
Mfinipar nous pre dre en grippe | jatuais été si: gaic, law contraire! | Attendez. :: Ah! qu'il fait bon, | vraiment fini par croire qu il y ve-
et s'en est nAlé. L'on dirait que ce départ t'a ôté | ce soir !.. : ait pour Berthe, “R n'y ayait
— Oh -en grippe! droteste | cothime un souei. ; | Elle s'é envolée, légère co que ‘sa belle-mère g J
amère. A" ee Quel-souei?-questionna Ber- [me un Gissau. Bien des gens le pensaient tout
+ Et Jacques, contini ait Ber-{the avee une vivacité qui n'était Lé père et/la mère. restaient | haut. Qui n'aurait pas juré, que
the, Jacques a consenti à ce dé. |pas sans lapatienée. : beuls en présence : [re mariage était faisable et pro-
bart:-toi-suême tu-v as aidé de Et ses veux bruns interro- — Mon ami, dit rapidement! bable et sûr ?. “Cela n'a pas
toutes tes forces’ .. Je n'ai jamais | senient les .yenx maternels; mais | Mme. Dutilleul réveille-toi. . Voïlà | tourné ‘eomme l'ün eroyait. Des
compris cela... de Lee les deux. interlocutrices étaient +Jacques-qui rentre. Je suis très deux enfants ne se eonvenaïent
-, : Que veux-tu? fit la mère em | femmes: il n'y eut de porté, de inquiète, 11 est certain que Ber as: Tant pis! jar il fallait que
“barrassée. Jama is, Jeanne serait l'part et d’ autre, que cè coup de {the attend son'frère, qu ‘elle re-} Jean se décide... Ils'est froisssé,
parvenu à se marier ici. Sa à bell bonnes joueuses, ‘qui montrait | doute son avis. Elle a alert ? il aéu tort: mais-il s'est éloigné,
re
"mère prétendait ri inspirer SO
Yehoix à elle et lui inter lire le sien
Dnoeait hi raiier Or, un kom
me à nd épouse: r la femme qu'i ai
" V
qu'on n'était pas dupe,-dans-eettelconfiance en lui. Que veux-tr?
joute, de propos fliserets, où nulle Ils sont presqte du même âge, et:
dé disait TOUtE EÀ pensée + oht}nous-sdumies vieux: Les jeunes
non, = .sèns que personne her. | gens se shtent davantage lés mê:
chât- pourtant À cacher son Cour.
Quant au papa, il dormait depuis | penser et € agir: ils ont peur de
longiehips, dans le fauteuil, ‘sous {nos manies à nous. Nous ‘Jeu
la luëvr de l’abat-jour. Sa tête | parlons au nom de l'expérience et
était tombée à droite, sur. son |de l'âge, et c'est la voix de leur
épaule, et il ronflait, jsunesse :qu'ils veuTent tentendre
Berthe rompit l'entretien : Tu désires beaucoup ce ma-
15! fit-elle en se levant risge?
RS ne
Du Oui: .. Et pus, € était cuu:
peu comme un orphelin, vé pau
vre Jean. . le rermpleseis sa mère.
. vraie! : Cela fait toujours pitié
r Bas : h.
\
y
! " é
» ‘ À ;
L®
nes goûts, les ‘uêmiES façons de
ils -bien-fait: H-éeartait les:
prétendunts. 2 +4 preuve, c'est
qu "apr Son départ, ce Rohly que
noûs Wvions refuse il, y aérois as
pri fent-aussitôt. : 7 Di resté, je
ai cherché à de mettre à . dis- |
lance, nare/ami Jean. ‘Je-ne lui
en veux näs.. Je J'aime bien. Seu-
lement, l'intérêt de nos enfants
avant tout, père, n'est-il Pas_vrai?
‘+ Bien sèr! ré épopdit l'homme,
fort .ine spaèle, pour son fompte,
ANT TETE ire FEI
+ USERS ——
M, Ininäüe!t
truire son nouveau canot. autômo-
biie, - :
ee. + *
Nos trappeurs revenus du. Nord!
ces jours derniers rapportèrent
un riche butin ; plusieurs miliérs
de rats d’eau, _et-autres animaux
à fourrares
La scierie des ‘les ‘Twin! est
en activité. Bieñtôt/eette compa-
gnie mettra à flot une grosse bgr-
ge à vapeur, pour l'exploitation
dé son bois.
Embusqué.
— DL — © |"
LA MAISON CHRISTIE- GRANT
£ET NOTRE PRRARE
M. Albert-J. Béland, chef du’ dé.
partement de publicité et.
service a
-La Maison Christie-Grani, Li-
mited, de Winnipég, se
soinpte de l’inrportancçe, de la cli-
it
de toutes ecs Combinaisons.
* Un pas agile gravissait l'esca.
Her du vestibule, parmi les rires
jeunes et l’allégresse des premieré
propos,
- — Je tremble, répéta Mmé Du-
tilleul.
Que va-t-il dire? Les
voilà. Ris !
*CHAPITRE NE :
re
* Le frère et " soeur
Le sergent eritra! tout à la joie
du retour,
= Bônjour, maman! Bonjour, !
papa Tout le moride va bien?..
f'ai fait uni affreux voyage. Trois
heures d’omnibus, une heure de
retard, quelle sale ligne!. :
n'y a rien de nouveau ici? À
— Noû, dit Mme Dutilleul avec
assez À ’embarras, fout en se lais-
ll
sant ermbrasser.. Mais toi, tu
n es pas trop fatigué, non Jac-
. Q 5 U
amusé par ia? # à Mn ÿ
— Mais oui. : : $
Rome
Et Jean? demanda. Berthe.
Qu'est-ce qu'il devient ?
Le. front ‘du sergent se rembru-
nit:
Jean se porte bien, répondit
lil évasitement. : Sa nouvelle ins-
tallation lui plaît beaucoup. - ;
—— Je m'en doutais, s ’applaudi
Mme Dutilleul, Ilse fera vite à
sa nouvelle vie, et ce sera pour. le
bien de toüs! à
Jacques la fixa bru
squemérit,
mäis" il n'y eut dans
n regard
are lueur demécdntentement
1 était déeidé he pas revenir
sur une qüestion désgrmais” vidée :
: "Ma mère, dit-il, cé qui est
| fait est fuit. N'en parlôns plus.
ÆEt-pour sa ed nieux: s0n in-
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Tonthier est à Cons-
renidant
réel. a Dureau-
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tention: $
_ Justeme it, nous avons . eu
l’occasion, étant de loisir, Jean
et anoi, de. pousser jusqu'à Reims
où se mariait l'une de éés cousi-
1: FE
—… Et vous avez vu à noce!
_ Nous l'avons faite!... Trois
jours. It c’est pourquoi, pris à
l'improviste, je n'ai pu vous don-
uer d'adrésse où m'écrire. . : Pen-
dant trois jours, nous avons diné.
valsé, promené...
que ie vous confie un secret ?
- Oui, oui. Eu
Eh bien, fit le sergent, d’un
ton æenjoué où perçait cependant
sous- di analice un peu de raneu-
ue. .., sachez que, dès le premier
jour, Jean m'a paru au mieux
uvec sa eaÿalière,
-- Eh! eh! fit Je père.
. Bérthe se taisait, et Mme Dutil.
ñ E SON dépi ;
= Bah! murmüurat-elle, c'est ce
qu'il avait de mieux À faire, ce
“brave enfant. Ici, ce qui le re.
teñait, c'eut qu Al n'osait pas. Sa
belle-mère Jui faisait peur, Mais
là-bas. , F
— Justement: dit Jacques, je
crôis que eela Einira” var un maria.
ge s Fe on
Et il reprit avec un xre forcé,
qui témobgnait seulément de son
désir de belle humeur :
mm À qüand-e-tien, petite soeurt
Voilà ton tour?: :
Hi ne croyait pas sj-bien dire, et
ré instant eritique était venu: .
= Hum! fit Berthe toute pâle.
— Hum firent Mme ét M. Du.
tilleul. …
— Eh bien, quoi dit Jaquès
Qu'este que'vous avez?
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Et voulez-vous |
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$1.50 PAR ANNEË
ie faites une figuré tft ÿ'a-du
pente _—— tu-te "na.
ries?, ”
Il s'était levé, ému, troublé. La
mère éxpliqua vite, terriblement.
gênée : $ 1!
‘Oui: - C'est-à-dire. .
il fat bit expliquer! ça.
te lâcheras pas, j espère 1 ri
Me fâcher..." De quoi!.
Mais qu'y. à-t- it Vite, parlez
dene! :
Toute la paix s'en était allée de
la maison au vestibule, Le père
méme -guettait à présent les mots.
— Eh bien, voilà! expliqua ja
nière,. HU y'à Cinq: fjours, un M.
Robly (tu le connais, Fritz Roh-
ly?) un Alsacien, nous a fait de-
mander par M. l'abbé Schuman,
s'il nous ‘serait agréable de le re-
. Enfin,
Tu ne
[cevoir et de li permettre d 'of-.
frir à Bérthé 4és.roshecls. » et
un bouquet? , Nous avons bien re-
gretté que {u ne sois pas là; mais
Ga he pouvait pas attendre.; Alors,
comme Berthe voulait bien...
— Oh! moi, protesta Berthe:
— Bref, il est venu, dit'la mè-
re, et c'en est là... Il revient.amé+
me ce soir, nôus l'attendons. Tu
le verras.
pas trop. mon enfant!
avions peur que tu:
Elle & ’enbardiséait. pare ‘que
Jacques ne répondait point, Mais
se sergent était resté debout, ner:
veux, tirant sa moustaghe pour
oins sentir la piqûre * le mor-
dait aux veux.
— Feur de quoit fit. il Berthe
est assez ‘grande, ie süppôse, pour
Nous,
J'savoir ce qu'il lui faut. me n’a
pas besoin de mon avis .
à Cane
L
Cela ne te 15 TE QU
ca saturé
f
{
v".
Q
ee
ÿ
#
RAUUP
M
Vous
terrains,
SE ‘constäpee ft venez” visiter notre
… distriel,
made
3 = _1hes heureux juaintenant de vous
: anngneer que le 21 dé ce mois et les
jours suivants il y dura une €x-
:: 'eusiôn d'une vingtaine de colons leurer ahasi
vérs ces terrains. kitués à" 16 ii.
les du Fac du Bonuet et à 9 mil.
iles Kaunieorges.. Hi
- Hitmbreuses | 4) 4
mens par NUS
d'exploration, nous sou: |!
une mA
re classes
à snteteute: Le
tabac soux ie ses
ine à’ la glace. .
- Venez à la River. View Hoiei,
qui.êtes en quête de teis tenue par ui. Cauadien. Va.
profitez de cette cir-
qui, à
__témeignage. de
nr.
7 ‘À not
‘douze femilles wtrivées depuis an
imdis unf toutes un noréeau
€ pain et
“aandons pas
. des pau
Dieu nous, 4 favorisés de
“dance ni
Û “nous ue
plieati ot
Terrains à vendre |
Un be
160 acre
rivière
sé en # “D
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Û sible dans cette vente.
Autre “magnifique terrain
Le
33. HE l'Éss
sur le bord de.
vendre
2 jeunes chèvaux pesait 1,300 li-
52,000,
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ind ais [-à-bonne-misenà deux
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Cette
ci au-25
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ÉD La
le village à
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Ufre-b
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120
20, à deux étages et-divisée
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guérie—et" vous me remerciérez kinct
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foule nerubrense acéormpägnait à]
la |
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it devient so:
2 Re an qu
malade; à
Quand à ï
silencieuses à ne point épouvan-
ter même les orbrageux ? ‘‘Eeou-
te, mon doux, disait à son mari
“Tune: tnondaine, les chevaux ont
peur des autos, tandis que les au-
tos n'ont jamais peur des. che-
vaux; doné, il faut que tu m'a-
chètes une auto.
. = ,Rassüiretoi, ra FN
peu, toutes lés autos seront silen-
cicuses autant que-toi- inËmezT
quand: le: rat gronde.
Quelle. bnpr udence fut la nôtre.
Séduits par ‘uiie température plus
que printanière,
avant l'heure, nos fournaises. Or,
le jour inême de la séanee, le re-
doutäbie
rieux, de chez les Esquimaux et,
Ltaître comiie ces sauvages, nous
fr appe sur le dos, M: Beauregard,
fe pli 1s gros de la communauté, «en
tousse ‘
eéci ;
au
leurs.”
rant,
té;
même.
courte
avons;
siale.
SL
Aquilon
Au Pot depuis trop
temps déjà, nous
Quand il s agit d'une-bonné
œuvres, d’ aucuns n’ont, janaisni
temps ni argent:
une eruche ou
croustilleuses, éomine 1
“irque de Moosomin,
Dont, l'auditoire
nombreux que précédemment, ané- |}
ne äveg un groupé de Saint-La-
zave et de la Vallée: ‘Qu’Appelie.
Mais ce vaillant auditbire n'avait
pas froid. aux yeux, et à» la fin de
à hs,
nous enlevämes,
survient fu-
one
avons «constaté
Ah!#° il y- avait
ques scènes
’an sechier,
Let ail-
était moins
a-séance,1-ne-devait-pas avoir
froid aux mains.
il applaudit :
L ‘émouvante ‘‘Prière du
dat’”, sur l’air du Clairon. — Le
grand patriote, Paul Déroulède, a
dù en tressoilli dans sa tombe.
Lés poèmes de-F. Coppée, ‘Le
Naufragé’’ et aussi ‘
débités par Mme Lamoureux. : -
‘Jeanne d'Are'’
Caïn’, par Mllés: Hu-
don, aux voix très harmonieuses,
‘““L'’Allouette ’”
der’s Kield'”; par'E. Descorby.
“Nerurod’?
“L’Enfant'’
par E.‘Brulé, virtuose de 5.ans.
Mais ofi applaudit surtout-n0s
trois jeunes actrices, R.-IL. Fafard,
E. et L. Brulé.
mois;-eHes'Sont à la peine.
juste qu'elles Soient à l'honneur.
plusieurs,
cloeur, elles ont déhité aeve ai:
sance, grâce et ardeur. juvénile :
‘Mon petit. nez’”
le renard”,
mords de
Oùtre :
1 Les ‘bonnets de. Ca-
ton”? et ‘The young nurses”?
nes enfantines' dé circonstance.
I était dix heures...
tre puissante lampe-éleetrique d’é-
nous avions-pas-vouiu- faire
concurrence
du Créateur.
se eouclier, nous-avons dû faire de
C'est-à-dire,
regagné
contents de
DES DEMARCHES AUPRES
DU GOUVERNEMENT?
Sa Grandeur Mer Mathieu et sir
Lomer Gouin sont à Ottawa, et
dans des cercles politiques on
* attribue toutes sortes de motifs
à 0e voÿage. — Une brigade ca-
nâdienne-française?
ke
——_—
Ottawa, 11.
jours occupe
sence simultanée, à Ottawa,
sir Lomer Gouin et de S. G.
Mati.ieu,
Deux heures es du:
so
‘La Veillée”
“et le. ‘"Re-
et ‘‘On - Flan-
par: M. Fafard.
, de Victor Hugo,
Depuis bientôt six
fl est
chants en
‘Le corbeau et
Svè
au grand luminaire
Mais celüi-ci allait
après
en Ccomnun,
nos pénates,
notre soirée
une
nous
très
parois
— Lu rumeur'du,
exucoup de la pre-
de
Mgr
archevèque de, Régina:
Les cerckeS” politiques ettribuent
toutes sortes de motifs à eè voyæ
ge, d'autant plus qu'il est enten-
du qu'ils doivent recontrer
jourd'hui sir Robert Borden
d'autres -
pour y diseuter
relativ es au fanetionnement de la
loi du serviee national
province de: Québec.
que Mgr Mathieu.est déjà venu, à
Ottawa, il y a quelqués semaines, |
au-
et
sara du - cabinet,
iverses,quastions
dans la
On assure
et qu'il aurait agi conune inter-
nédiaire entre le gouvérnement ct
les. Canadiens-français d'âge mi-
litaire..
Mÿr Mathieu aurait, de-
mandé, par exeurple, la formatioù |
Tinie.
Avec no-|
Lie de. ui frs
ETES =
rité,
et leurs subor-
siège. du gou
TNovgorod a<té diseutée ainsi que |
tie + a po crc, frait à
la même question où à : d'autres
dé même nature
Acetucllemeut, la grande imajô”
des officiers sont de’ langue
anglaise, et malgré l'atmosphère
de conciliation qui règne présen-
temént :entre/ eux
donnés, il est inévitable qu'il sc
produise de la frietiun chaque fois
qu ‘un ordre. donié.:en
anglais
n'est pas clairement compris” du
premier coup. Rien ne serait plus
facile, croyons-nous, que de trou-
ver dans le 22e au front, tous les
officiers nécessaires pour comfian-
der les tronpes canadiennes-fran-
taises. On apprendra probable-
ment.d'’ici peu de jours quelle dé-
vision aurout prise là- desstis
autorités:
les
Dans un ordre d'idées quelque
peu couiues, on annonrce un débat
Chambre,
prochäin, en
qu'on peut appeler le status, na-
sur cé
tional du: Canada par rapport à
l'ensemble de 1° empire.
que le parlement est rempli de-na-
Il paraît
tionalistes à leur facon, prêts à se
rebeler contre toute ingérence de
l'Angleterre dans les. affaires du
Canada, et à réclamer contre tou-
te atteinte directe à notre autono-
Le premier ministre aime à
se présenter comine défenseur in-
tangible de l’autonoñrie du Domi-
uion, et ce mouvement aurait tou-
te son a; approbation.
,Dn peut done $ vers à une
| celle des mesures militaires. iinmé-
|diatement à prendre. pour la dé-
üseou vontre à
à ue aériens prurtids UE
méthodés boches
Les méthodes 11. — Les
qui ‘parviennent
tiennent eerttiné
quant conment les inéthodes alle-
mandes dns Ukraine soulèvent
de l'opposition et excitent la hai-f
ne dens tous les inilieux.
difficile de découvrir des indiea-
tions relatives à l'existencé d'un
parti pro-allemand. Même lé nou-
veau gouvernement actuel :
pretid “des imetnbres fortèment op-
posés àla politique allemande et
qui n'ont accepté de €har
le présent, que pour des
en -URrain:
journaux
à Sioekhobm con-
articles indi-
I est
coin-
# pour
‘raisons
d'ordre matériel.
‘situation est agitée
‘Londres,
dans l'Ukraine. est
Ft
11. — La situatidi
devenue : si
agitée que de wros détachements
de cavalerie allemande des
Flan:
dres sont en route pour l'Ukraine,
wiandé le correspondent de. l'Ex.
change Telegraph, à Amsterdam.
On a recu de Liège, Belgique, L'in-
formation que la lutte va repren-
dre dans l'Ukraine,
des détgcheménts
teutonne un arrivés dans
vile.
Un article de gournal décrit ie
désarmement de ce qu'on appee
la- garde bleue ukraine, dans la-
quelle un fort esprit anti-allemand
s'est manifesté.
la guerre a déclaré à Ja Rada, k
jour suivant, que le désarmement
d'üne partie” des Yroupes $ ‘opère
eutoneut
se cor
1)
a the : War. : Dour
pu
Dore
prôchafné ét il'né Tait pas'de dou-
te que cette explosion de la soupäa-
pe ‘nationale aidera Considéräbie-
ment à la production: agricole pro-
elanfe, hier, par M. Sutherlan,
eprès d’ autres, si utile-à la çon-
inuation victoriense de la mere
que nous” poursuivois pour.
fense de. la-eivilisation.
La démission du chef libéral -
IL est toujours un peu question
de
là démission de
ÂM: E.-M: MacDonäld a passé
journée d'hier au Parlement
la dé-
M. Laurier
le
et
l'on y à eu ces jours derifiers plu-
sieurs autres. ehefs libéraux im-
portants comme M. G. P: Graham
èt MacKenzie King, ete.
ausÿi qu'une revue libé vale hebdo- |
madaire sera fondée à Montréal
sous le titre "The Nation’’.
. On dit
taines apparences laissent croiré
qu'il ya du vrai dans cës deux ru-:
weurs ct il ne serait pas étonnant
que le’vieux chef du parti libéral F
prit définitivement congé de
Chambre à
Session.
Ja
la. fin de la présente
Le ‘‘Hansard'' ne sera pas censuré
Au commerieement de Ja séan-
ce de ee matin lé gouvernement a
abandpnné ét Tait raddier
leton la: résolution pourvoyant à
la censure du Hansard par le pré-
sident de là Chañbre abisi que Je
bill iinposanit le contrôle de l'État
sur les importations et les expor--
tations, et la doi réglementant la
vente des oeufs au, poids.
ensuite revéiu à l’ étude des clau-
ses de la loi du sérvice eivil amen-
dée.
du feuii-
On est
M. Turriftet M. Cutrie ont
voulu renuvoye} le bill à‘la pro-
chaine session, itäis lé. principe
est avaintenqut adopté et la hi0-
fiqn Tuvriff a été rejetée.
0 ———
LES ISEES si
L' aide Érut constaté que
son emprise sur là Russie est in.
suffisante, chercherait à A'occu-
HLLIILE ci pit u
fhdlés boches | en Ukraine
Londres,
changer,
ne
Eu
situdttun
à Pétrograd..
it-il, a
Russie 1
été placée souduin en face d'évé-
nements qui peuvent de nouveau
“pohrique;
inande le eurrespohdant dü *
ly: Exp
lemaghe, AE
“Dai-
L'A!.
a par entnenx C
constaté que Soh emprise éconorni-
que sur la Russie est insuffisante
Le varuber imilitaire-
et cherche. à
ment.
. Nul ne devrait marcher -diffici-
lement à cause de eors quand il a
à £a portée un aussi efficace re-
mèêde que le Hollow" se Corn
cg :
4
Cer-;!
On dit que
dé cavalerie
est foréér dé prôtéster
brutalité ‘que & inarqué T'arresta-
tion dé députés:
“Suivant un autte article, la pre-
mière division de l'armée ukra-
niénne, qui a été établie à Kovel,
cette
Le ministère -d:
vaut le LE courtois es
et nous nous faisons
Pa cr possibles LE,
Ces
que: $1.00.
- impôt de: &üerre: 3 sous.
$1400..Fait.avec
Dr Lang's R. No. 666$,
ete.,
ment complet de
410 AVENUE SELKIRK à
F7
eontye (a
a été désarinée par les Allesfands,
à catise dés sentiments germano-
phobes qu'elle a manifestés. Cette
occurrence. est
particulièrement
intéressante, parce que la preniè-
re division se compose en grande
mesure d'anciens prisonniers de
guerre qui, après avoir
bonne dose de
iés camps
: allemands
chiens, ont été libérés, après
conelusion:de da paix:avec
kraîne, afin de:
reçu une
propagande dans
et: autri-
la
r UE
retouiner, daus
leur patrie et de former une nou-
velle.armée-ukrariene qui, de-
vait coopérer avec. les empires |
centraux. F1
72
D — — “ie
Les, Heures déchirées?
LES HEURES DECHIREES
Ceïles
sur la trauue desquelles on ne peui
ricu tisser, lainbeaux de jours tra-
giques,
pensées
effilochées, notes
rapides, dans brisés tes heures ds
trois années,de guerre.
- On trouvera pourtant dans ces |
tnpressions, dans ces crayons et
res sanguines, .toutes les qualités
du poète Jyrique qu'est Lé» La:-
guier..
Les esquisses d'un grand
artiste font souvent l’admivation
“le ceux qui aiment ses
- tab'erux
‘achevés et ses fr esques inonumen,
tales. -
L'auteur qui est encore au
frout ne nous
perinettrait pas
d’autres éloges.
Nous aurions dû sunplenient ju ||
primer en, tête
de ces pages.sa ci,
fation qui daté de sépteuu bre 1915,
quelqués ligues de sou, egtonel
éoquarit toute’
champ battu par lés vahons @
à guerre:
ire.
mis, un grand poète francais qui
pause sa blessure au bord
trou d’obus. :
Un vol, in- 18, net 4
ous 1e6s Jibl'alrés el
d’un
fr, Chez
dans (g 3, D
-blivthèques des Gares. — L'Edi-
tion Française Illustrée, 30,
de Frov ence, Paris.
—— 0227 2 ——"
LES ILLETTRES AUX ETATS.
se UNIS
US mit M
La guerre a imposé à notre ut
tention des faits presque ineroya-
langue,
bles sur la prévalence de l’igno-
raïicé en ce pays.
hommes d'âge conseriptiblq- -ne-
peuvent lire ni écrire en aucune
Près de. 700,000
Il y a plus de 4,600,001
ilettrés de vingt ans et plus.
iHettrés d’au-dessus de dix ans, —
la base ordinaire de caleul —- s"6-
Les
lèvent à 5,516, 463." De” cette ar:
niéé si vaste que, marchant deux
don
Us
rue
Lsupé les’ ressources
aussi bien que les ressup} ces intei-s
U Le dérivera-
médecines,
sangsues sont Eee dé Russie ét sont: dé ln pese
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CHIÇAGO, ILL,
(Délirré libre de tous droits eau Canada)
TSITUATIONS VACANTES
Hi yaet il y aura une grande demande de bons commis de bureau
* Notre écolé sera ouverte tout l'été: C'est maintenant le temps de -vous
Nous dvons moins d'élèves durant l'été de
ssorte que ceux jaue nous aurons. seront l'objet d' une attention encore
plus particulière de la part des. professeurs. : FPE
Nous invitons cordialement nos amis de langue française à Venir,
dersonneliement se rendre compte de l'oeuvre que nous vemNehe
pour le PIeTee de la jeunesse de cette province.
- préparer pour les affaires.
222 AVÉNUE PORTAGE
WINNIPEG
;
LA LT.
par deuxs viigt-cinq
jour,
uilles:°
its prendraient detx nrois: 4
pau
défiler devant là Maison Blanche,
plus de 58 pour cent sont des
blancs, :et 1,500,000 sont des
blarnies.né dans Le pays. . L'imrmi-
gration eu pa du tout le
lectuelles du pays.
se ul
*éeonomiqnrés |
tie ignorante n'est pas Unie ar
ératie, — New York World.
The Montreal Date Star, 2 inats
1918.
Pur extrait de’ “lager” : bé à
qui vous permettra d'en fabriqu
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d'égale forcerà.la maison, On peu \.,
fabriquer 6 gallons ou 3. "dzaines de *,
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"1
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œ
LES
surtout d'acide phosphorique et de potasse, .
élénjeuts en œuterrant 15 jours p vañit seinis, environ 500 livres de
supérphosphate de chaux et 160 divres” de ehlo e de potassiuih" par
sere. Mais à quoi bon parler ‘ces. Engrais
fard de trouver iei et qui cent her pour. Ja ‘boutsé du
p, : :
D'ailleurs ces engrais ne soit pas abudluinent indispeusables.
on suffit que da terre soit, d'une. fertilité moyenne, el bon état de
. eulture et qu'elle. ait été “‘Bumée”, eugraissée l’année précédente
avec du fümier de fernie. Je dis: ‘‘engraisste, l'année précédenite ‘,
- fumure trop récente. A la rilruenr dans nos pays, Un terrain fume
F'automme avec du fumier bien * ‘echemmé !*, peut être ensémme) et
de pois àvee avantage. Li n'en irait pas ainsi i le funrier n'était
pus consommé. Il convient de. mettre de 6 à 8 tonnes de fumier
pur acre. -
{ A Ajoutons. qu'il n'ait. pas possible d cultiver les puis, dans. de
bonnes conditions, plusieurs anukes-de suite dans le imêmg-tertain:
quoique ee terrain puisse recevo les engrais convelrables et apÿiro-
priés. Les pois ne doivent revenir que tous es trois aus dans le
même terrain. ;
2o. Semis et culture.-—Les semis se font dans ce pays depuis le
milieu d'atril-jusqu'au commenéenent de juin. Evidemsient il faut
têuir compte de la température ele: l'uinée,.et on-he peut: pas douner
de règle. absolue pour lé senris. On sème en rayon,-où par buüîtes.
Je vous ai dit, dans uu article précédent que. je préférais ‘le semis
pur “buttes"” "à raison de +4 à 6 ns par büttes, espacées de 6 ou
ë poüces. ‘Il éonvie [Tr dé laisser étre les rangs 1 pied Lo à 2 pieds.
Quant à la profondeur où doit être enterrée la graine, 1 pouce b2 à
2 pouces, c'est suffisant.
Pour l'espacement entre les buttés et cite ls rangs, il variera.
*" selon la hauteur et la vigueur des variétés cultivées, comme aussi
“selon la richesse du sol. Les pois naüis, ou deini- nains, demandent
moins d'espace que les pois à rames, 4 .
1 faut entretenir les pois propres dé anauvaises herbes, et Jo
donner un ou deux Linages dans le cours de-la végétation, après
. quoi on les ‘‘renchaussse”” avec soin; ce ‘ renchaussage * est déstiné
“entretenir. Ti fraicheur € à donner er vieu aux plantes —
“Pour avoir des. pois jusqu'aux gelées, on sèmera des varié tés
précoces au commencement de ji, ou si l’on préfère dés variétés
lardives au commencement :ou-vers le milieu de mai.
30. Récolte.—-Ou commence à cueillir les pois deux mois où trois |
et plus après le semis, selon ln preocité des variétés. _Il n'est Huère
de puis qui mûrissent leut grain en-moitfe de ‘trois mois. Pour 4es
grains à manger en vert on fait la eucillette tous les deux où trois
5 + jours, en comméneant à la base des tiges.
40. Maladie.—Un des. ennemis les plus dangereux des pois es
a ‘‘Bruche’’t-d'est un insecte qui pond ses oeufs sur les '*‘
en vote formation.
trent dans’ les graines.
tions.
petit trou rond à leur surface.
hupossible de détruire les: larves renfermées dans les gousses.
On se contente de tuer es insectes que contiennent les grains de
pois, en les soumettant à l’action des vapeurs de sulfure de carboiie :
—et on ne fait cela que pour les gvains qui doivent être ensemencés.
11 est aussi plusieurs maladies de nature cryptogamique/
rouille’, le ‘‘inildiou'’ qui s'attaquent, aux feuilles.
laque aux feuilles et aux grains. Heureusement ces maladies sont
assez rares. D'ailleurs on les eombat facilement et efficacement ant
les “bouillies au sulfate de ewmivre.
gousses ‘‘
De petites larves ‘blanches éclosent et péuè-
Là elles accomblissent leurs transforma-
A FC
Une autre s'at:.
UN AN GIEN J ARDINIER.
LA HERSE . |
Dans nos -premières années de culture en celle provines nous
avions .uu terrain vierge et d'une vable." ‘Ainsi nos
récoltes étüient de toute beauté. Ceperidant nous n'avions pas d’ins-
trüments agricoles comme nous en. avons aujourd'hui: les charruës.
la herse, ui semoir et un rouleuu nous suffisaient, Nous. semions
indifféremment un terrain.ou ui autre sans nous: occuper della
qualité de nos,semences; nous -jetions” sans arrière-pensée uue
: semence de blé gelé, dans un terräin à imoitié ‘préparé; et qui «de
ùous n'a pas fait trainer son semoir dans den trous d'eau d’ un pied
ue pfofondeur? Ê
Notre excellente, terre avait pitié, ce me semble, de notre ignp.
% rance, ét°malgré le dhhuval traifémént que nous lui faisions subir
. ele nous donnuit‘quänd amême des récoltes. É “4
"Cependant nous posions une eause qui devait nécessairement
avoir son effet. Vous pensez que je veux dire que ous détruisions
nos têrres ; ailleurs c'eût été le cas, mais ici nos.terreé sont inépui
subles. Elles nous l'ont pronvé chaque fois que nous leur enavôris
donné l'occasion, La wioindre aiéblioration, soit pur le guéret d'été
qui coûte si chér au enitivateur et à la terre elle-inêine, puisqu'i!
la dénude; Palégit et produit cette poussière qui nous av eugle dau
cs LATTES x: AT PESTE me
Coupie- d'années, voire mêne par. une semence d'orge. Ces seuls
tiivaux, dis-je/ nous unt toujours val de bons rendements.
Notre peu de soin n'a done pas épuisé nos lérres, mais il y a,
je le répète, posé une eause qui. a eu ‘son effet. Depuis au-delà de
trente ans notre mauvaise culture s “ftroduire dans nos
, chanrps toutés 1 mauvaise hérbes possiblés et impossibles
Nos seniences de grain qui pourriient se miaintemr. avec l'hürmni-
dité proterant de la gelée ‘au’ sous-sol, se voient entourées d’ume
wyriade de,plantes nuisibles qui veulent vivre, elles aussi, nruis aux
dépens de nos grains qui ên souffriroht DesnereP, sun 5" meurent
É- .*. pas. 1 )
- Lenxsreinèdes à appliquer-sont. rtrès- Led puisqu'il y y piu-
sieurs germes de amalädies à détruire. Les racines de. chardons et
. ces graines de folle avoine otit leur traitement particulier.
{avons parlé et il sera bon de répéter, mais à Jà:saison où ‘nous som-
nes, est plus pratique 4le rappeler ‘aux cultivateurs le traitement
des petites graines nuisibles qui ne germent qu'à In surface: tel ie
» pissenlit avee sa légion de cousins et d'arrièrés-cousims ; tes diffé.
-rentes-espèces de moutarde, -ête., ete-ete
.' Les terraüis Sont einpestés de ces petites séinences. Quelques
“vuhtivateurs eN'sèment même ts Jeur rain et les terres les mieux
richesse ,inconcev
7 gta IDE TEET LATE TI
à laissé
ho ñ
és. ur si les racines. de votre pe nr
hiques qu'il est si
parce que les pois cutnme les haricots ne s'aceommodeut pas d'une,
. Au printenrps ; les insectes sortent des graitis eu perçant un |.
| votre ‘basse-
Nous ei |
robe. foin L
er
et hersez pee nee la Ve. ait: atteint 4 à 5 pouces:
roc Re sUrRAS pee
LA TERRE QUI rs :
4
Les typographes nous jouent -parfois dé mauvais Par à nous
ie se en voulons pas, car ils sont de Bonne Toi.
numéro de là Libèrté nous fait dire:
“En. d'äutres termes, le remède souverain £ontre la terre qui
‘‘poudre est une bonne rotation. Mais pour ‘aire une bonne rotation
‘il faut garder un troupeau d'animaux et ne pas les envoyer peus
‘me les terres qui doivent produire le’ blé.’’
l’est justement. le contraire que —— AVORS - dits-notre manus-
TT portait
‘‘sur les terres qui doivent ns du blé.”’ F «
Ca, se ressemble un peu, mais l’un est juste le
l'autre. . Celui qui nous à. joué le tour a dû ge-dire: ‘Mais,ça n'a
‘‘pas de hon sens ; le Cultivatèur a eu une “lreatien faire paître
‘‘kes animaux sur. les terres qui doizent produire du blé, ça ne. se
‘‘peui pas ; enlevons cela.‘ : ,
C'est justement le: raisonnement que font bon nombre de nos
cultivateurs ; nous le eroyons faux et de nature à nuire # l’amélio-
ration de”nos terres, c’est pourquoi nous avons tenu à mettre ‘les
choses au point, ear, bien sûr, Monsieur le Curé de Letellier nous
Aonnera sur les doigts, dans sa prochaine chronique, si nous -ne
mettons les choses au point. Vaut mieux se corriger, soi-même que
de se faire rappeler à l’ordre par autrui.
. Nous le répétons done: por faire une bonne rotation il faut
renoneer à la pratique trop suivie jusqu ‘iei par les nôtres, d'envoyer
paitre leur troupeau dans les marais ou sur les terres vacantes,
comme on dit. Semez du trèfle, du foin ou autre sorté d'herbe dans
les champs qui sont: un ets dati de PronaY, qui ne rendent
ü où es ANIMAUX FU
Far
ces pièces une couple d’ smée, et qisnd vous orme 1 à la culture
du blé dañs ces pièces, vous y prendrez du 30 minots à l’acre. . Ca
vous aura payé de ‘ne pas envoyet paître vos animaux chez autrui
et d' avoir remplacé le labour d'été par le pâturage.
: UN CULTIVATEUR.
LES 6008 REPRODUCTEURS soit beau mais d’une van; mâle,
3 qu'il porte fièrement la tête, qu'il
jase, qu'il chante vigoufeusement.
— S'il reste muet, inquiétez- -VOUS
du prochain élevage: il.y aura
beaucoup d'oeufs inféconds.
“Le choix de coqs réprodueteurs -11 importe-qu'il soit galant à
revêt une importance plus consi- égard de ses poules, qu'il les aj-
dérable qu'ou ne je croit générale-| me et qu'elles l'aimett, qu'il sa-
ment; il dépasse même de beau-|che à l’occasion se priver d’un
coup dans ses conséquences celui | ve pi
des poules. Voïlà qui vous étonne | faire plaisir; qu'il les appelle sou-
peut-être, et pourtant rien n'est | vent.
mieux constaté. | Son plumage doit étre lustré et
Voulez-vous élever des pondeu-
ses prolifiques, des poulets eïclins: même,
à l'embonpoint, äccordez. votre : C’est lorsque les coquelets sont
préférence à des mâles provenant nombreux, à l'automne, avañnt les
de bounes productrices d’oeufs ou condamnations à l’engraissement,
issus de belles grosses volailles. Le | qu’il est plus avantageux de faire
coq Compte pour les trois-quarts | son choix. Qu'on en r'ÉServe, à cet-
dans la fransnission des aptitudes | te époque, plus qu'il n’en sera re-
.de ses parents, tandis que la fe:!quié, afin de pouvoir faire un $e-
wélle n'y est que. pour J’autrel-cond choix plus tärd; quélques-
quart. N'’empêche qu’il est encore | uns promettent parfois plus qu'ils
plus louable de prendre "le père et| ne donnent, À
la mère-dans d’excellentes li-| D'ordinaire c'est un. coq ,par
gnées ;
peut accorder de l'attention qu’à | garder; si les volailles sont.lour.
l'un des deux, qué celle-ci porte | des comme les Asiatiques, c’est un
surtout sur l'acquisition judicieu-! pour 8 ou 9 poules; si elles sont
se du09: N'hésitez pas à le payer légères comme les Méditerranéen-
jusqu ’à deux ou trois piastres ; à [nes — Livournes, Minorques, An-
era qualités
ce prix, il n’est pas cher, s’il ap- | dalouses, — € est un pour de 15 à |:
pattient à une famille ayant:les | 20. —— Plus les habitants du pou-
qualités, dont vous souhaitez da | laïller jouissent de liberté, moins
propagation Parmi les sujets de} il faut de coqs. En février'et mars,
cour. Ce que nous af. quand la vie est dure, que l’acti-
firmons jei, plusieurs cultivateurs | vité. est. à peu près nulle, 7. ou 8 |:
l'ont sans doute rex qe nr poules, quelles qu'elles soient, suf-
observé Dar exehple dans leurs fiséñt à un coq: ro
troupeaux de bestiaux. 1 Dans le ess où un troupeau ré-
Dutre cette sorte d'annobtièse- | lumerait plusieurs coqs et que
ment reçu des ancêtres, le e04 doit | | | ceux ci de consentiraient pas à
peséder des avantages ” peron- | fair bon ménnge ensémble,. on
nebs. Il sera Solidement } planté sur | | ennsrille de les jeter en are,
viral s
"1
te; il aura la poitrine Les et | tour, s se partageant autant que
bombée, + queue hautement ar-!| possible chaque journée ; de cette
rondie ; il n’a pas le droit d'avoir facon on obtient des.
de faux côté. F-faut qu'il déborde! fort satisfaisants. Bien entendu
de santé et de vie, qu'il ait cons- | qu'il ne‘s’agit dans le moment que
ciènce de sa digoité de rai, qu'il} du temps où l’on cuëille des oeufs
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sans être gras.
Il est bon d'introduire dans les
troupeaux, tous les deux ou trois
ans, des coqs étrangers et, de ”
diquement l'élevage eonsanguin,
ce qui néanmoins ne peut être ten-
6 AVEC SUCCES que
des cours avicoles.
L'abbé J.-B.-A. *. rapl
—Le Coopérateur Agrico
— 22002 —
D. — Comment Ie savant-fran-
çais qui trouva les principes de. la
télégraphie éleetrique traitait: il
la science ?
R. -— En père (Ampère).
er
Chasse magiquement l'asthme.
|—Le secours qu'apporte immédia-
tement le remède du docteur Kei-
logg tient de la magie. Cependant.
c'est le seul remède naturel usé
d'une façon naturelle. La fumée
ou la vapeur, atteignant les par-
lies les plus affectées des bronches:
supprime le mal et permet de res-
pixer ‘facilemént.
naciens lé vendent.
LE ministère dés
ra jimqt'àt #.06:,
des soumissions pour
édiice pour. les pourris du
fédéral, sur da rue O'Connor, Ottawas Ont,
lesquelles soumissidns devront étre cachetées,
addtessées au soussigné, et porter sur leur
caveloppe, en. sus. de. l'adresse,
Sousmission, pour édifice
gouvernemeént fédéral,
Travaux
Jundi;-}
publics yece-
e 27 mai 1918,
la : construction d’un
les mots:
des bureaux du
Ottawa ”
On peut consulter les plans, les tonbüles
de ‘contrat -et se procurer des devis et. des
formules* me: soumission aux bureaux - de
l'érchitétte en chef, ministère des Travaüx
publics, à Ottawa; du surintendant des
Élices fédéraux, Hétél des Postes, Mon-
tréal, PQ, x..et du, commis des travaux, -Sta-
tion postaté “PF”, Toronto, Ont. …
Les soyrissionnaires ne.doivent pas oublier
aù'on ne tiendra compte que des. soumissions
aites sur les formules imprimées fournies, dü-
ment libellées, ! signées de la main 5 Con-
Currer avec désignation de la ‘nature de
teurs: occupations, ét du lieu de leugs rési-
dences; s'il s'agit de sociétés, chaque associé
devra si
inscrire
a désignation ‘ précitée.
Un chèque au montant de soixarte. quinze
mille dollars ($75,0007 fait à l'ordre du mi-
mistre dés Travaux publics et accepté par une
banque à chartre devra accompagñer chaque
soumission. _Ce chèque scra. :confisqué si l'en-
trepreneur dont la soumission aura été :ac-
séptée refuse de siguer le contrat d'entreprise
où n'exécute pas intégralement ce Los,
* Les chèques dont on aura
les soumissions qui’ n'apront pas
tées seront remis. ,
accepter mi. la
soumissions
ét procurer au
Le ministère ne s'engage j
rlus basse ni ucune
MAROU E- -On
L à . ?
l'ravaux, publics, es. ‘tracés
prints) en fourxiésant un: chèque de banque,
pla somme de 456, payable à
le ministre des. Travaux
sera remis si le -souniÿs:
soumission régulière
bleus
‘C DESROCHERS, :
e LAS ‘Secrétaire
Ministère des Travaux publics,
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"Comiission des vivres du Canada, déténni ni avoir en sa possession 1918, f£ob. &n gare du marchand, diéation de Ta reine, c'est que lelril de Ja morale chrétienhe inté- en question et le: nem.se-répandit} .: DENTISTES Te hi #1 3
Ponte nvoir en sn possession Où | sous #on “contrôlé eh ateunfaquel que soit le prix le plus bas, [roi Ferdinand est “un. Hôhenzol. | gate: Non, 8" s'agit avant tout fnatufellement parmi les troipes | < Phone Main s006. © : er
"ons son contrôle du.suere de eat temps, dé la farme faite en tout fou d'en dispaser de | a manière qui liern ét est. éncore l’objet - d’une |de1 ‘adhésion à un parti, où inême quand eeux-ci firent leur ‘appari- rénand pus ver arm 1 2:
meet mené ne dépassant pas Lou on partie “de blé, en quantité poirr être snécifiée par Ta Com: {eertaine considération de la part|de pratiques et d'émotions pieu-{tion eur le chanip de bataïile, — | : NOUS PARLONS portes ROUES
Lee qu'il likfant poire seé be SOS À +
+
1
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|
sant. pas de la Commission des v ivr'es décidera nur ï: ; AVOCATS ET NOTAIRES j
4 RARE FANS Re Sn il ui faut pour ses besoins ‘or: de temps en termpés” "7 ment confiées à Pierre” Carp, € [res Hibres,-te are LR s INVIUVLU UN: 23: fn HU Th $ #4
| ‘ce: dé : Œ 8 gi rs v tant que premier 3 stre. [l'ambassade a s el ae Postal Winnipeg, Er
| re dé sai inilles ou Dita de tou: dingives d’une périgde n "excédint 1 Toute personne xi iolant ‘aueu. L'ant que premi minist gl “ambassade aû Fr ribie der T'oénère dés gaz de l'aigreur et de la douleur. Panier Pont s wi ! :
| v she ls pit 1 avorr : 1... sl sn pas trénte jours; une persomis [ne ‘du dispositions-de cet" arrêté + —— ben den PAR ip tonne A tnt LÉ css over 2 Dre ne Eu. |
“Possession OÙ: Sous &on’ contrôle, :
Î
‘ dééanne en qu intité ne dépassant
sous on contrôle én aneun“temps,
: du süere de éanne en quantité p'us
que suffisante pour ses hesdins
4 #1 2 . Métis Meïlntyré, ‘Winnipeg, ee
Commission des vivres du Cara milles de distaneg dé tout. mAtr- leg présentes, POULE être saisie est allemand. , Les prétendants et où ils trouveront les grâces, re- k. ser Rond, puisque Ni ré | s Tél, Main 1554.
da, pourra avoir en «4 possession CEE ait mi nd ia laprès le 15e jour de mai 1918, par les plus probables au trône, en pa:|quisef pour la pratiquer. On y’ ét : qe
où $oûs son contrôle, du sucre de Commission deg vivres du Cana: Ha Commission des vivres du Cana- reil cos, sont le jeune:prince Ni-[travaille par une façon:par trop Ÿ 1;
Ù 2
: anne en quantité ne dépassant
|
ture, e th les confitures, ge.
Ho rh 1e #
cu pre) ayant L à
h- Fe égard ae ane
tés immédiatemet res, et il noùs en rési ut-être | forme morale qui serx aussi diffi-
des Vivre Canada par se elle ehez eux que chez nous, ils
ieunier ou le vendeur." ne, F : soñt en train de rattraper la
5. Pourvu, que tout venddur de : “de HFrance..…. ‘ Les catholiques sont
ia farine susdite devra immédiate. | femme. maïs je ne, Lémit 4 renon- {fondés à: dire* avec ‘une légitime
ment faire rapport ani Comité des feer."" nos fierté, qu'ils ont isté mieuk que
meuniers, 138, rue Queen, Otta- Wilhelmétrasse avisé pi les autres... Seulement, les” ca-
aw, sûr lajunnitE de cette farime tent aux moyens à re po! * Jthotiques n'oubliéront pas que si
détente, en sus de ses besoins pour débarrasser Va Roumanie de l'in
= presque toutes les familles fécon-
soixante jours, 6? devra spécifier fluenep de la reine. Corime me-{des sout. pratiquantes,. da -réeipro- Enatogie entre ces engins de gug
ie mom du meunier qui a fabriqué|suré préparatoire, les journau
7 | +" étéphones
Âque-est loin d’être vraie. Le bien | formidables et l'ustensile : paeifis] Suréaut- ein 138 Résidence: a de: ne.
Tee farine, la matque de eom-fällemends ont apparememnt reçu fgisse une grande marge au mieux que auquel ôn les éomparait. Or, "©" 7e
inerse, la date de L'achat, le dom |instruct ign d'annoncer que la rei- : ss ue
... Aussi se garderont-ils de se | Voiei l'explication, à “Fequelle cer à AE ! j
du vendeur, le prix payé, .et quels ne, songe à abdiquer., 1 sembie |eomplaire dans une satisfäction tes itl n'aurait songé. Lorsque id DR. JONCAS :
sont ses hesoins. pour les mois de. qu'on. peut prédire sans ‘crain
d'eux-mênies qui-serait ën vartic les autorités anilitaires britanni- |. . -OENr TE
mai, juin et juiljet. Sur réceÿti ot} Lane la veirre fa ’abdiquera jamais |injustifiée et. certainement : très ques procédèrent à des essais, el pe l'Univeraité Northwestern de :Chl .
Le. éanne re de Fi. est Lente ame Fn aété ce peu drotle de
la dénomination de ‘‘Tanks ap
pliquée; : par les. journaux anglais,
aux autos blindés qui ont fait si
belle besogne à Coureéiette et au-
4res lieux. Traduit en français
ce mot sigiifie “et oi)
aväit ‘quelque peine a 6 bbür l’a-|
sens règlement
| Jéen et les Truite entiers où mé- [le demande d'une municipalité 04
langés. = é par ün fénetionnaire d'une muni-
gite TS + [eipalité, ‘amende çsi pavte au tré
. CE Qu'on PEUT GARDER DE sorier à ete. “municipalité, pour
SUCRE qu'il en 4bit disposé eomme : elle
bg NAN prencrira de’temps à antre. Quand
Le à Pre Green de telles procédures. # not intentées
à la demande d’un fonetionanire
à Ançune porsonné né devra dé. piovineial où par ec fonctionnait
tenir ni avoir en SA pORaCAAION. OÙ liséme, cette amende est payée au
trésorier provinéial pour qu'il en:
Roït disposé corsme il ordonnera
dé temps à antre’ ee
RMIRURGIE ET DIES ‘’«
ürdinaires.d'une période n'exceé-
: 4 | quo de ce renseignement, le Comité Fsans y être fôrefe, vu pi elle est |dangerense. HK:ne se serviront | les tinrent À garder lé keeet eur engo, sollicite la clientèle Lau E
dant. pas dise jours, exrepté tel des meuniers devra, notifié ld imbne à’ un profond sektimént de !pas sans l'expliquer de la formuie | l'invention: 1 failait donner un. dienne-françgaise.
D nn te [CE QU'oN PEUT GARDER DE iweunier qui# fabriqué cette fa. [responsabilité envers dé peuple équivoque: ‘‘La religion résou. | nov au bâtiment abritant les v6- #12 CN Mate 2 wiNxIrRe
{43 Une permomne vivant à jus FARINE rine, et. il sera du devoir de ec froumain, qu'elle ‘aime .sineère-|drait, le problème de la: natalité hieules, et-on prit ke premier qui ,
de déux' inilles et à moms de:cinq : =
meunier d'achèter cette, farine au!
prix payé par le-:marchand, où at
prix .du.eours à In date du 20:avril
ment. H semble probable ge la [comme tous les qutres.”" Oui, si vint ‘à l'esprit, eclui des “Tanks’'’. gemmes
seule. raison pour laquelle 1 ’Alle- lpar religion om entend À ‘intelligen- D'où le nos sou lequel on dési- |. Drs Maloney & Kennedy
magne à ait pas exigé encore l'ab-!ce entière et 1 ’aceomplissement vi-Tena, parmi des initiés, les véhicules s Es
ee n
nulles. de distance de tout. oiar
“hand ayant une licence dé 1%
«l, Atcune personne. ne dévra
mission des vivres du Canada. des gouvernants allemands. ‘ [ses La religion, comme toutes 7e
da Side roicet. Ja-‘reine sont tous{foreés n'agit qu'appliquée .
deux déposés, il's’ensuit naturel- point voulu. On travaille pour le
lement que le prinee héritier Char-[relètement de la“natalité, quand
les.sera exilé aussi. 11 partage in lon rappelle aux: croyants te. que
haine dé sa mère pour tout ce Qui [leur preserit Ja morale conjugale,
plus que suflisante : pour kes: «he-
soins ofdinaires d'une période
n'excédant pas quinze jours, ex-
cepté tel que éi-après pourvu,
ordinaires d'une: période n’exée
dant pas trente jours: une ‘per
sonne vivant à plus de cinq milles
et à moins de 10 milles de tout
Marchand ayant une licence. de la
Echange. À — _—
+! Blé : Soie nm. A.
-Ÿ. Ensus des pénalités inposée — re ie A: 2e E a PRAGANE
contre la violation de cet: ordre,
tel-que pouryu, toute farine Ci-
après détenue où achetée en excé-
dent des montants prescrits dans
D. — En l'an soixante | après Beaupre & Betournay
Jésus-Chtist, commen était le nez ETC.
de l'empereur. romain ? : — AVOCATS, NOTAIRES
(a) Une personne vivant à plus
de deux smilies ‘et. à moins de cing
jolai, un simple écolier, et le frère lindirecte, quand on se borne à des
dü roi Ferdinand, Guillaume,sgé- learnpaghes, d'ailleurs excellentes
néral de l’armée allemande, Lesfet nécessaires, pour l'élection de
#ffaires de l'Etat seront probable: lhons De la fondation d'éco-
CESR
L'ACIDE D'ESTOMAC. | te & ROY .
da, et toute farine ainsi saisie se-
“a confisquée pour Sa : Majesté,
qui en disposera de ja manière que
da, pourra ‘avoir en sa eme
ou sous son contrôle de la farine
faite en tout ou en partie de blé,
pas ce qu'il Jui faut pour ses be-
soirs ‘ordinaires d'une jé triode
n'exeédant pas soixante: jours: et
Bones : 4 France au Sacré Coeur. On ne
LA PROVINCE DE QUEBEC ET | peut rien sans la religion ; cela ne
vivant à une distance plus grande [sera passible des pénalités. men-
du sucre de canne en quantité ne : ie He SUN ALFRED U. LEBEL : a 4
À que cinq milles et moindre que [tionnées-dans l’arrêté de Son Ex- 1 c É
3 i P à L LT ty LA ñ , y HN] fai £ p A Les autarités : médicales s'acordent À récon: ;
dé "PASS: Set pa le 4 + ‘Jui Ride dix. uilles de tout marchand {cellence de Gouverneur général en . F GUERRE veut ar dire ge) il prove mn naitre que neut- sir, dix. d’ indigestion, de QE Tel, Main 201% LUS 2
so rt J P ‘ : y : : : ï * taire 0 se maux! d'estomac, de brülements d'estomac, de à l SE M !
Lt. ef PE. 2e 4 in air ms ayant-ane licence de la Commis-eonseil en date du douzième jour : —— agi A ae Prises msi og ete sont, le ‘résultat: d'un AVOCAT- NOTAIRE : à
période n'e QUS nt pas cent-ving ; Ÿ (cp 50ô7 3@ La ne ner du Me Lo « En à à “hexcès d'acide hydro-chlorique, dins lestomaot ke ce 1. /
sion des: vivres du Canada, pour-Îde mars 1918, CP. 597, lesquelles Éxcépté comme argument élec: leialement Fe : LL, Ua ve coute tnt cet DT: NS sis %
jours. - CCE j ra voir en sa possession où sous [pénafités éont fixées dansles :pa- vré » : cialement triomphante. 1 Y a fiuque de sûes digestiis. Les membranes |‘ Winnipeg i 4
(b) Un. fabricant détertant une |. = ni ? a toral dans les provinces anglaises, pourtant des gens qui $e persua- Fdélicates de” l'estomac s'irritent la digestion |. : ns ER FANS 4
d Le FADrICANT -ACLONAN son vontrôéle dé la farine, faite en ragraphes SUIVANTS : “| + tait d’ 1 : à ‘ Ÿ CEA » se fait pius lentement, Ta. nourriture -surit; | - tte PS mean er pe 5 ….
licenge .de Ja Commission des vi- artie de blé, vw an” à 1 qu'il importait d'endoct#ner pour |dent de. l'entendre ainsi, pour se fil s'ensuit ‘cés déplaisants et douloureux. : -
dr ide À tout ou en partie de Die, en quan (a) Toute perspane qui enfreint leur faire prendre avec enthousi- ch ‘d L’eftor: Au li \ symptôMnes que connaiséent si bien: ceux qui LT ; : .
vres du Canada et.empléyant dun lift no dépassant pas ce du’il lui | NT Taxe pr e. « Lousi-! dispenser de effort. : AU lieu léufirent de l’estontac. : : =
J "> , st y tPAsSSi pas | . Ra, ne: disposition. queleonque «ares aisnie la pilule de la couscription di e de Y ai ter leur su n6ri »rité, Ou n'a pas dans ces cas beséin de digestifs Ho», FA Bernier LP, Minckwosd, C À ee : |
sucre _de canne:dans la fabriea- Lys pour. ses. besoins ordinaires Eprésents règlements où d'une or-|; RTS RE 100n 3 SUPETIOTILE, Lotifciels, et souvent Ys né peuvent que | Noël Hernier y Alex. s
tion dé ses produits, et ‘un rai: + " personne au. Canada: n'a admis|ies eetholiques s'efforeeront . de
d'une: période. n'exéédant. pas
soixante jours: €t une personne
vivant à une distance de dix mil
les où plns de,touit tel vendeur,
pourfa avr eIL-SA POSSESSION Où
sous son;éontrôle de Le fariné, far
donnance promulguée. en. vertu
des présents règlements on qui en
trave un fonctionnaire où autre
personne dans: l'application des
dispositions des - préserits, règle
ments ou: dé telle ordonnaice, est
si de élit et passible, sur
conviction sommaire devait - um
iuagistrat de police ou deux juges
de ‘paix, d'une amende n'exeédant
pas mille dollars, ou d’ ehiprison:
nuire. Mettéz de coté tous les digestifs aëti- ER BL ACEWOOD é Gé
'giels et procurez-vous plutôt quelques onces B NIER, el
de bisurate de magnésie dont vous prendrez Ke:
une cuillerée à .thé Re un are su im- |- & BERNIER
médiatement. après lès ‘repas, Cela calméra *
la douleur «dans l'estomac, prévie ndra Ja .for- AVOCATS-——NOTAIRES
mation d'un excès d'acide, il n'y aura plus Placement de enpitaux pri 10]
ni aigreur,. ni. férmentation, ni douleur, PR eu Edifice Somerset,
gas, Le bisurate de magnésie (en pastilles l'ét, Main 2079,
ou en poudre, — jamais liquide ou é# lait} ne
peut. pas nuire à l'estomac, coûte PEU C1. Est
la meilleure iorme de magnésie pour l'estomac.
Des, milliers..de personués : l'exnplôiet: elles LE, A. DELORME SENRI LACERTR
jouissent * maintenant de ce qu'elles mr | Aveest RATER , Free Ke |
| Barreau de à vos.
et n'ou-pius maintenant aucune eue 1 de
chand en gros on un vendour.en
-détail pourra nvôir en 8 posses-
sioh ou sous son contrôle du sucre
coïuime exacts les chiffres fournis l’aceroître. D'abord, ils prêche-
à la Chambre des Communes sur l'ront, d'exemple, plus encore qu'ils
l’enrôlement volontaire des Canh-lue l'ont fait jusqu'à présent. —
diens français: on peut les dou-l'Les Nouvelles religieuses. Paris,
bler: sans ‘crainte et l’on restera [ter avril 1918, page 193. : $
eheore-beaucoup-en -deer-de-r-vé- ; < en
Fité, Par parti pris, semble-t-il,
énn'a pas voulu sendre justice à |: LES 1 ENDEMAINS DE LA
l'effort dé la: province de Len GUE ERRE pes
et l'on a fait aux nôtres, à l'é.| : < =
pas les. be sois ordinarrés de son
EGNINETCE Pour Une périadé D'EX: [je en tout en partie de blé: en
éédant pas quarante-cinq jours. quantité ne dépassant pas ce: qu'il
2: Cet ordré nées Na Fa Pas lui faut pour £es besoins ordinai-
aux fabricants de suére de eänne. res d'une période h'exeédini pas
‘cent vhrat jours’
lrigestion.
ns
Toute pérsonne . 4 éléténant . on: ‘
es ERA PES ES : ranger, une répartatior 1 Aa. n’esi jee ; PRRRAMAR RER TA VOCATS 0
ayant en st postesion, où souk Sort | CT Un: niarehand en gros -otr aient pour une période -n'atf | has du tout CRE Le tréorier | ‘On raisonne parfois sur les len- A3 [208-200 w AU ENUR FRE agen us |
contrôles du ste re de canne. eh [un ve endeuren détail ayant uné di: |: int -pas trois mois, où des deux proÿincial, Mitchell, dans son datitri A6 guerre comme s'il N. Pirotton EUR
quantité plus forte que celle pres: l'eence de la Cominission des. vivres l'heines de l'amende et dé L'empri- exposé usé taire devant ia Ÿ- ne devait plus y avoir d'Alle- UE. DUBUC ;
Li dansseet ordre dexéa tinmé: [du Canada pourra-avoir eh si pos: somiement. - s + Agislature, le 9 janvier dernier, an-|mands à cette époque-là. ‘C'est ur ALEXANDRE GELINAS .
-daitement rétonrner ce &uére au H oi jui n ntrôle de x FDL EE en À RP aie RE | y s ° 4
# dd + tes n'eut KES sessio Sur sous son eontrô se la |, (HKRQuand les procédures dans nioncait que, déduction, faite. defune illusion tout à fait baroque. |#FORWOOD, MAN. prmeepese ?
marehame de qui il a été aeheté, farine, faite en tout 6nù en Partie lin ens queleghqne ou uñé amende | toutou dépénsès adinäires et ex-l'A l'heure présente, le Teuton bar-| Tél Rés. M 3606 : Re -—- ;
er ce x ture devra accepter ee Fde'blé, en. quantité he. dépassant est impésée sous |’ empire des pré: ire lin A is de | g? unir, ‘et chac à ’ Avocat — Notaire #75
mere, s’il est en bonne condition | pas ce qu'il lui fatt pour tes bn: pa -traorduianes, y:eompris de preætre tout avenir, et ehaeun ° eom- PR ee AE pr - Rupee nn.
| Pi ents règlements sont -intentés à |inier ver sement de $375,900.00 sur [prend qu'il faut le vaincre. d'n-| Manufacturi ÎLE PAS, : 5. MANITOBA
et tepéger-tpri-brehret-ot-t Ecoims-ogrdinmaires-de-son-commeree Le à ER TEE SES PRE 7 numents funéraires F ae
unit di el si ous d ‘ ser {la de grande ; d'une municipalité, où le million de dollars. donné: aufhord. Puis, onse figure que Ye [en marbre, #ranit et een ..
he te ère à Be NS ME période: n'eéxcédant pas has un fonctionnaire d'une muni- | Fonds Patriotique, le surplus deë |T'euton vaineu disparaitra-par en- crie ga 17 2 Jambes ot bras artificiels. Solidés ;
s » Dr'iX 16 HHUS DAS: et & : L ; NS *, f 1 ; : k à
o1 ie ae v k 28 Pol PA VO OIXANLE Jours. cipalité, l'himende est paréé eulrécettes sur les dépenses pour ehiahtemént, eomme dang une trap- [sage, lettrage et net- légers, stables, d'adaption al
sucre n'est pus racheté: les: faits 2, Le paragræphe 1 de cet ordre fi ia ss ARRET PP" 1 4 ; de monuinents facile. Aspect naturel. Fabrication è
sé “ cpl RS DRE RER ë es téserier de ectte municipalité, | l'année écoulée s'élevait à $158,-|pe, et que nous rétrouverons nulle Lt Pie mega 2 rationnelle. ®
t’les circonstances devront, être | ne:s'appliqiera pas aux membres di Là gd nt
pouY qu'il en soit disposé comme
elle LEE riva de temps à autre
Qui und de telles procédures sout
440.61. : Les contributions du .gou- | part. à l’état de fabricant, de é6m: 66e en 1814 Seute
« maison : langue
vernement de Québec aux oeuvres |merçant, dé Yanquier } adversai- française . dans tout
“rapportés ,: jimmé erment. à Ja [ni aux houlangers et, pâtissiers
Commission des vivres du Canada ayant une licence dé ia Conunis:
Western Artificial Limb Co.
: ss de ‘guerre. ont. été les suivantes:|re qui depuis plus de deux. -ans|lOuest, . Non. 87 et#87%4 rue Marion S:
ar le marc hand .laion des x és du Canada, : » rt ï Fra. ' PME GMA SE ‘Tél, M, 2208 do P. de Rorwees.
. 4 sata PÉNALES ATICIES = des _ « d Lu <e — : Jintentées à lademande dur foné- (a) Au gonvemement. inpérial: nous gêne tant à l'état de soldat: re D LE ru
JE es PERALULES CHOSES Let CE LE OÙ PPS 16 FT AR Mionnaire proviicial où ‘par. ce ——————— =
#628,987.56; (b) A l'hôpital des | Ne croyons pas à cet invraisembla- .
paroisses canadiennes à Paris: {ble escarnotage, . Pour obtenir ja a A . Bertrand-Hebert Cie: à
$5,000.00 :' {e). Au comité de &e- victoire, il faut fuîter contre 14 | rél. Main s772 : 160 rue Marion
contre da fioialior de cet orttre, FI9I8, aucune personne ne devra
tel” que pourri, ET Küvre de can- [nourrir duchétail où des volailles,
ne ci-après détenu où acheté en {ni permettré de nouirir du hétail
fonétionnaite même, cette amende
ést payée au trésorier. profincial
D vrntante ven hé cn rad pour qu'il en soit disposé évrpme éours. belge : $30,000.00 ; (d) Au force allemande, Agréable. ôu no, nn reubles—Prets—Loyers : #2
dans présentes -—bourrs étre trine-où-ses sous-produits. ‘à l'ex il'ordonnera de che 2e à autre. leomté se secoûrs. nationäl de}votià la réalité. Si nous n'en {el P. COUTU & CIE | ASSURANCES one
saisi après Le qinziè he ‘jour de ception du son et du petit son; et ea A éd AS NDS France : 439,996.45 ; (e) À la et amont sde 008 dans nos:caleuis, Coin Provencher et Auinenn
se ERA J , à 5e de-secouis des hnarins britanni- [nous serions bien‘embarrassés le Tél. Main 0068 À $t-Bonitses
mai LOS per Conemission des Paireene personne ne devra stiem: à ù
14 Lu d'expérience |
Eotregreheurs de pom-
pes funèbres et em
baûmeurs
MARCEL MOLLOT
. Membre a Live Stock Exchange
Service d'ambulance. ‘ré Spécinli achats cu Ca ,
Limousine. pour Bapté-. ane a
mes et __——
CONDAMNES A LA PRISON
ques, Canada : $5,000.00; (f) A ta {jour où il s'agira de pâyer nos
conymission des hôpitaux militai-|dettes étrangères et de rendre à
res: #9,000,00 ; (g) An ‘fonds: pa: |la France ‘“la situation privilé-
triotique eanädien : $1,000,000.00.[giée dont -elle jouissait’”. Les
L'ensemble forme un total de $1,-| Français sont tout aussi capables
712:084.02, De plus le gouverne-|de remporter la victoire éeonomi-
ment provincial de Québec a sous-1que d’après-guerre que à victoire
vivres dit Canada, et tel suere ment vendre de #e blé à {farine
dinsi saisi sera confisqué pour Sa! pour des .fins _arnsi prohibées.
Majesté, qui devra en difposer de | Pourvu, toutefois, que. lorsque le
la manière que la Commission dé- | bié 4 été récolté ävec d'autres
videra de temps en 1e8if is greins et qu'il ne pourrak être sé-
H paré ‘ée ‘onomiquement, ce mélange,
3. Toute personne %
ne er ions 1 à condition qu il ne eontienne’
Toronto, 11. “T rois , consérits
du premier bataillon ahi ont des
objections de conseïence contre le
service militaire et qui ont récem-
{ s : LE d €
ment subi.leur procès - en, cour ferit aux: enrprunts de guerre des |mülitaire d’ avant- paix. Mais, poi ” ÿ *
PONS 2 à TT Tmarnnle, ont recu leur sentence, | montants isés à $1,800,000, ne pi re ‘pris cette 10 or taux. L… Corbillard-euto.
nées dns P'arrété dé de bté, pentrétre-vordre-on-méheté |: es 004 PER HER RRAIENS, LMONAN TE totalisés à $1,80 000.00, Lis pas être pris y Lois SAGE) "4 -
ie le ouvencll ME ue vont ln nonwhure LUeT-07 OU PR condamnés eha-lee qui forme un total général de liu dépourvu, il s’agit d'étudier à ‘de tér ot de datent 9007 :
Uu Verne L PLIS L i ir s % & à L L s. aus bn Lu DEAD EI D » i
1e s | ploye 7 eun: à deux ans de travaux fôreés. !$3,512,084.02. En mettant le do temps l'armement de l'adversaire.
conseil en date du À dés volailles, . toutes lignes irapnatianetases,
tb ads he mt
Jar âu ehiffre trop élevé. de eing|Que voyüns-nous en Allemagne? names var 8 us LES
——— - — te _——— francs, on trouve que, sans parler [Un immense effort d'or ganisation | + y
a RE EEE —— a LA TRAGEDIE ROUMAINE |.e la contribution pr hommes. deslet d'édücation... A'l'organisa- tie vrtreseresssre)| ic. MARCOUX |
4£ ne ÉcSe Linnombrable soüseriptions ‘parti. [tion des JatrOns correspond 1’6: 4 Academi ‘Ste-Mari " p | “AGENT DÙ C. P. R
VENT = ; ‘culières et de-sa-lourde part. dans | ducstion des travailleurs; Ce n'est |4 € e C1 Bureau: 64 avenue Provencher -+
mit ». S = a La si un du traité de paix les dépenses fédérales, la province pas par un ch vois sentimen [+ mms ——— Més. ren SARA EE 1748
UE vin dl Ë ST SE RS ARE DES 4 ‘Allemagne n'en serait |de Québee, par son seul gouver- [tal que ss du syndicaligeme. 4 Crsscentwesd, Winnipeg, - Mon.
Tout ce qui. la nur devra étre vendu à grand: Û le e premier acte. — Fière | nement : loest, À CONCOUFU AUX DEU- allemand sn inpé érialistes et an- + (3
ra bas: ie rte LE LE tion de la reine Marie. |vre de guexre pour uhe somme [nexiomistes. .. | “La différence |4 Sous “
: M0 d'eschi - ‘Sera-t-elle. déposée? A de dix-sept 1nillions, cinq vent qui ‘existe dans || ‘érosion à écono-|+ Baint-Nom de.
‘ia-C “hier a — SEE ASE SE HA à | à RAR A MES AR LRU AY NN LE AT soikante-mrille, M red a et de PAFTY domsometiene ls mu
:, Venes et k Lx a Me | Mie is et qui.se fera ün LR OS SE ae | 5 franes et dix centimes. Et ï s'ext lemagne s’expri 16-claire ent par % Ÿ
Re ee manon etape a 9 Londres, #1. -— La signature du fmalheureusenient trouvé des Fran-| l L
% + L s De e
raité de,paix entre l'Allemagne vais pen ‘renseigné potr. ro:
>, visker nôs, Ra, Re ft la Rounranie “x sera pas le dér- {cher publiquement, dans le ur
’S ien aete de la tragédie roumaine. | naux lé là-bas, Au-{anada fran-
1D Oo w N’s 6 | }’ opinion qui a 'eours dei. vais son apathie, ét d’autres Fra:
nee Tous A. reime Marie 2 beaucoup. éon- sais pourl lse croire _ sur parole.
| WINNIPEG ur à Dee TT ee la. Ron- $' ils savaient, s'ils SOUPEONNIEN salaires
Depui: |séulement ee qui s’est pañsé au Ca-[0.17%,
V'entz,
là région du
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+R
k miss _—
+ — ere ee — À
mn
Br,:2% "avril, — Marie-France-
Elminâ-Armelle, fle-de Caiille
Teillet et de Sarah Riel.
Le 25 avril 2 Marie-Lucille
Léonore, fille dé Hubert Bouchar
-€et de Léonora Guay.
r à Lu |
Le 28 avril: — Marc-Henri-Nor:- |!
bert, fils dé Gaudias Brunet et de
Alice Jutras,
Le 28 avril, — Joseph-Arthur-
Emile, fils de Paul Savoie et de
Osilia Comeault. #
- - Aliceorette-
Thérèse, fille de Onésime Boivin
et de Lorette Fillon.
, Le 28 avril, —
guerite, fille de Siméon.Rézæillard
et de Rose de Lima Bérard. :
. Le 29 avril == Joseph-Custgve-
Roland, fils de Eugène Bruce ct
de Clérinda Hogue.
Le 50 avril Ephrem-Philippe.
Alexandre, file de: Amable: Robil
ardt de Marie Racette.
Le 1 mai. Charles-Alexandre-
E., fils de Charles Riel et de Rosa-
lie Jourdain.
Le 5 mai. Marie-Apolline-Si
mone, fille de Guillaume CHare tte
ef de Agnès Daigneauit. :
Le 6 mai. Joseph-140-P auk,
fils de Joseph-C!, B! lais et ni Marie-
Rose dé Lima Rodii igue.
Le Jamais — André- Hohri.Geor:
ges, fils de 4aston Borimy et de
. Madeleine Terrillon. -
Le 10 mai. — Joseph-Léo-René,
77 M8 ‘de Jules Rémillard et de Ré-
gina Desrosiers,
Le 10 mai... Josh Henfi. Vic.
tor-Guillaume, fils de Basile Lau:
rin et de Ida Jodoin. à
Le 12 mai. Marie-Thérèse: A]:
froda Grisille, filé de Alfred Ha-
mel et de Rose Rondeau.
Le 12 mai. Marie Aunès- Âli-
ce, filé de Adélard Bél: ang ‘r et de
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chiürme, décédé ke 29 avril à l'Hos-
rain bien ombragé situé à côté de
l'église, .
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doivent être partagés par, mpitié
pice d'Youville, à l’âge de*73 ans.
Le 4 rai. Bridget Crerretty,
décédée Je 2 courant à l'Hospice
a Fe qu? ae, à l’âge de 85 ans.
entre la Croix-Rouge et l’école du
| mai.-— Atina Plante (Mine Sacré-Goeur.
het) décédée à L Honpise You À ta même séance, it été déci-
Es il 2 courant, à l'âge de 61 Gé, à la suggestion du président,
” , | M. le Dr Benoit, qu’uné demande
Le 12 DAL, 7e Marguerite-Ber soit faite an Rév: Père Curé pour
LL fille de Nicholas Pirotton et) aie, de jour dé. la fête du Sacré:
de_Fétieia. Larbanois, décédée. le [€ |
Loeur, ous les trembres-de 1a-$Se-
ciété Saint-Jean-Baptiste, ‘airisi
que tous les paroissiens, en fassent
une journée de pénitence- et def;
prières pour huplorer la. miséri-
corde divine, . Communion généra:
UT0 di +0 tal üge \e 5
23 jours: ;
« CCR
Mme , Alphonse Lafond,
Boniface,
crade à
5 mois él
de St-
est de retour d'une pro:
Sainte-Agathe, où elle
ia
‘da
|
tion de M.'
n’est pas seulement la plus, jeune,
neille, il se pourrait qu'elle fût,
SR WINNIPEG
‘ A .
sible, vu le départ d’un bon nom
bre de ses membres paur l’armée,
que le 106al soit fermé pour l'été.
Où voudra done bien ne pas trop
Jules Lemaître : ‘Ce
plus vivante des pièces de Cor-
4h png er ii, : le de matin, 4doration: u Saint: Fans son théâtre, une _exception|s 'étonner si on trouve parfois Ja
était hôte. de M. Adolphe Fon-! 4 ment qui serait exposé toute brique, non précisément par la porte fermée. . C
nine. FPE JAN POERONE la journée et acte de réparation, res, ais par l'esprit. . pans — Ts Canfranc.
AA 9 EN Une amie. par tous, fa grande cérémonie 74€ autre, vous La \ verrez . 4 —
. + + de la Hénédiction du Saint-Saëre: |! ioirphé de ! pour: à Le CR FEUILLE D'ERABLE
11 voulait en être sûr, ‘Je nement qui serait exposé toute la de LR poème d'amour et de grand .
vonlite ‘fan ra: Sonia « | journée, et acte de réparation, par [9 RER M QE PPS {
da m4 Se Fe dec "à sys Le à la grande Ari pue do la Du poète Victor de. Laprade, Les Dames : Patronnesses de
Ce" IUS Certain QUE, JE AaLE B Sr die $
qu
tri
:
1e
écrit | Bénédie tion du S: aint-Saerement
M. Joseph Lang; de Kegina,-Saëk. | ui aurait lieu le soir, seraient les
‘Pendant quinze ans j ‘airessenti | aetes d'humilité- et de contrition
des doulèurs de-poitrine et j'ai! qui seraient faits bonr demander
Là Dieu de hiütéger les Canadiens
les
l'o
souvent en des quintes de toux. | re
J'ai consulté ‘plusieurs médecins | Pertent au front ct qu donne jer
et pris différentes médecines, mais | #ux Alliés la victoire qui méttra
dix bouteilles. de:Novoro du Déi à ce terrible déan et qui pro-
Pierre m'ont: entièrement :: guéri. | ( urera une nai, où le monde plus 5.
Je ne sens beat ueorrp plus--fort |: CFOYant et pius-Ferventse rappro- Ph
qu'autrefois et suis très recon- | chera du règne de Dieu. bte
ou pour des. bienfaits : que M M —
ai dérivés de ce remède.”
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de W innipé &, à sa réunion de vén. Du ‘Cid’ Saint Bee disait : L-J. Bergevin, boîte postale 3152, « Communiqué. tile par-l'intervention dés soldats. glais s.dans cette 11
drediwdernier, a pas avoir entendu [Le "EC sd” ct une piéce. de ut Winnipee, : | Mon travail, par Ta persuasion, au [gion + Me travail dé
le rapport de M. R.., Chanvière Inesse, un beau commencernent; T1" 8:20 Cr a ds or CHEN TEA licu' dela forée brutale, : amène |boche SLet-Même in
sur les déinatches fi ütes par le R. n häntite. b
le commencement d’
recummrencement d'une noésie ei
l'ouverture d’un grand siècle. Le
“Oid'” #$t une fleur immorteille
| Le
du
Fhérrien ét qué es s membres
comité organisateur, au sujet
de la recherche d'un te At pour
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ciété, veut avoir le ler juillét pro: Voiei maintenant une apprécia-kner
AT 1e , ." ë } :
ble
anssi bien que le sentiment et, par
leste”
, TERRE | bis
F PNA
que nécessaires du contrôleur des
vivres,
Saint-Boniface viennent de ému
gner
ï rectifié sur un point — sur, le
ornphe exelusif de l'amour dans
‘Cid’ — l'opinion de M. Jù-
ET 7 “Le : ‘Cid’ est.
cuvie universelle du théâtre | cle $ ont fait appel, par la ‘‘ Feuil-
mgais; c'est le poîme ‘dé ‘la le d'Erable”’, à la générosité de |
inesse, de Fhéroïsme et du no- | cetté ville et'de quelques-unes des
» amour... Le devoir triomphe | Paroisses dé ce diocèse, et le pur
blie a réponda avec compli iisance
4 çe nouveäh mouvement de ch1
rite, }
Les, ärdentes et aimables sollici-
feuses ont amassé la belle $ômmme
de 500 dollars, ce qui preuve que
l’arhonr du pauvre-est au cocû:
des citoyens de nôtre belle papu-
lation, et qu'ils aiment à: side
ls réligieuses "qui prennent soin
encore une féis que
vonement envers l'Hospiec: Pachf
est infassablé, = Samedi dernier
bonheur particulier an sujet,
onneur 4 satisfaction. aussi
n que d'amour.”
.
‘La Maïn
", la joyeuse comédie de La-
et de:*‘Quand ‘on conspi-
> la délicieuse -opérette, ‘vont
Les répélitions de
he,
A cause surtout des règléments
plus en plus draconiens: quoi-
PROCHAIN MARIAGE
«Le 22 mai prochain,
l'administration du. club
déeidé dé diseontinuer de don-
des repas. 1 est même pos- {notable Juge Prud'héinme
TON ce Pure
leur of. |:
M. l'avacat |ment sans voir de troubles tandis
Louis-Philippe: Roy épousera Mile que le
Pauline Prud’bomme, file de l’ho: Fes
CANADA.
7
REMERCIEMENTS méthodes amèneront des tro
4 PP bles,’ À
M. et Mme Pirotton offrent] M: Bélanger reste en fonciionl,
leurs remerciements aux: nom [£4* sa, démission n'a pas été ac
breuses personnes qui leur ont té. [*epiée, mais il eñtend bien sé te
môigné leur sympathie à l'occa. [1 sur ses positions. En atteu-
sion de la mort de leur fille bien. | dant, lé nonibre des insoumis aug-
RE ; ' mente, les derniers chiffres . por'«
= # tant à 6,790, dans la seule région
de Montréal, le nombre dés re
NOUVEAUX LEVITES crues Mmanquañt à l'appel.
e a M
Dimanche, en Ja cathédrale de . RAID NAVAL A OSTENDE .
Saint- Boniface: Sa-Grandenr-My
Lattre”
À 10: / » HOUR
Béliveau conférait, Ja prêtrise ‘à mine nHemand — La Le , ét
d ine 1€} ae Lende à ©
MM. les äbbés Se nez et Roy, tous bi Cie a pe 14 à à : stende 1
PT .e L Je $ { e "a :
deux de Saint-Boniface, : Le ser- + Ne MU, HOUV
“aid de. la maxine.anglaise, annon-
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